Les membres de l’Union des femmes pour le développement et la paix de Dabou (UFPD) appellent les ivoiriens à la réconciliation telle que voulue par le président de la République, Alassane Ouattara.
Lors d’une manifestation, organisée le 2 juillet sous le parrainage du député De Gnagne Claude et sous la présidence du préfet Zougno Ahipo Léon, la présidente de l’UFDPD, Mme Coulibaly Salimata, a demandé aux femmes de tous les quartiers et villages de Dabou de désarmer leurs cœurs afin d’accompagner les nouvelles autorités ivoiriennes sur le chemin de la réconciliation.
"Nous voulons œuvrer dans un élan de solidarité, car la paix n’a ni ethnie ni coloration politique et religieuse. Nous voulons une Côte d’Ivoire plus forte parce que réconciliée", a-t-elle dit.
A sa suite, les femmes de différentes communautés résidant à Dabou ont traduit le message d’amour et de réconciliation en langues locales (Adioukrou, Bété, Attié, Baoulé, Abidji, Gouro, Guéré, Yacouba, Sénoufo, Malinké), afin de mieux toucher les populations pour leur adhésion au processus de réconciliation.
Le commandant du groupe tactique 08 de Yopougon, Coulibaly Ousmane, invité spécial de cette cérémonie, a surtout demandé pardon aux femmes pour les pires humiliations subies pendant cette crise postélectorale.
Il les a ensuite exhortées au vrai combat, celui du maintien de l’équilibre social, qui passe forcement par la paix du cœur.
Prenant la parole, le député de la commune de Dabou, parrain de la cérémonie ; a exprimé sa joie aux femmes pour leur initiative. Il les a rassurées de sa disponibilité à les accompagner dans toutes leurs activités.
Quant au préfet et président de la cérémonie, il a félicité les femmes pour avoir pris l’engagement de lancer cette campagne de réconciliation dans le département. Il a souhaité que tous s’engagent dans cette voie pour le développement de la Côte d’ Ivoire, seul bien commun des ivoiriens.
(AIP)
Dbd/kp
Lors d’une manifestation, organisée le 2 juillet sous le parrainage du député De Gnagne Claude et sous la présidence du préfet Zougno Ahipo Léon, la présidente de l’UFDPD, Mme Coulibaly Salimata, a demandé aux femmes de tous les quartiers et villages de Dabou de désarmer leurs cœurs afin d’accompagner les nouvelles autorités ivoiriennes sur le chemin de la réconciliation.
"Nous voulons œuvrer dans un élan de solidarité, car la paix n’a ni ethnie ni coloration politique et religieuse. Nous voulons une Côte d’Ivoire plus forte parce que réconciliée", a-t-elle dit.
A sa suite, les femmes de différentes communautés résidant à Dabou ont traduit le message d’amour et de réconciliation en langues locales (Adioukrou, Bété, Attié, Baoulé, Abidji, Gouro, Guéré, Yacouba, Sénoufo, Malinké), afin de mieux toucher les populations pour leur adhésion au processus de réconciliation.
Le commandant du groupe tactique 08 de Yopougon, Coulibaly Ousmane, invité spécial de cette cérémonie, a surtout demandé pardon aux femmes pour les pires humiliations subies pendant cette crise postélectorale.
Il les a ensuite exhortées au vrai combat, celui du maintien de l’équilibre social, qui passe forcement par la paix du cœur.
Prenant la parole, le député de la commune de Dabou, parrain de la cérémonie ; a exprimé sa joie aux femmes pour leur initiative. Il les a rassurées de sa disponibilité à les accompagner dans toutes leurs activités.
Quant au préfet et président de la cérémonie, il a félicité les femmes pour avoir pris l’engagement de lancer cette campagne de réconciliation dans le département. Il a souhaité que tous s’engagent dans cette voie pour le développement de la Côte d’ Ivoire, seul bien commun des ivoiriens.
(AIP)
Dbd/kp
