Les images de l’ex-président et de certains barons du Fpi qui circulent sur la toile ne plaisent pas à Tiken Jah Fakoly. Promoteur de la caravane de la réconciliation nationale, le chanteur de reggae estime que ces images, qu’il juge humiliantes, pourraient porter préjudice au processus de réconciliation nationale enclenché par les autorités. L’artiste se dit peiné de voir la résurgence d’un certain nombre de comportement décriés pendant le règne de l’ancien président Laurent Gbagbo. Pour lui, quel que soit le comportement, l’action posée par ces derniers, seule la justice est en droit de situer les responsabilités. «J’ai failli jeter l’éponge. Ce genre d’images ne sert pas du tout la cause. Je suis très peiné. Aujourd’hui, je suis en pourparler avec des artistes afin qu’ils rentrent au pays. Cette situation peut fragiliser ce que nous entreprenons à l’heure actuelle.
C’est pourquoi, je souhaite que ce genre de comportement s’arrêtent et que les responsables prennent leurs responsabilités rapidement», a-t-il indiqué. A l’en croire, il est disposé à continuer la bataille à cause des nombreux Ivoiriens fatigués de la guerre. Malgré tout, il dit avoir marqué une pause à la vue de ces images. De fait, il interpelle la hiérarchie militaire des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) et les responsables de la justice ivoirienne. Pour ne pas donner raison aux mauvaises langues qui veulent, coûte que coûte, discréditer le processus de réconciliation nationale.
Mamadou Doumbes
C’est pourquoi, je souhaite que ce genre de comportement s’arrêtent et que les responsables prennent leurs responsabilités rapidement», a-t-il indiqué. A l’en croire, il est disposé à continuer la bataille à cause des nombreux Ivoiriens fatigués de la guerre. Malgré tout, il dit avoir marqué une pause à la vue de ces images. De fait, il interpelle la hiérarchie militaire des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) et les responsables de la justice ivoirienne. Pour ne pas donner raison aux mauvaises langues qui veulent, coûte que coûte, discréditer le processus de réconciliation nationale.
Mamadou Doumbes