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Sport Publié le vendredi 15 juillet 2011 | Nord-Sud

Angban Victorien (Eléphanteaux) : “Je n’oublierai jamais le public mexicain”

A 15 ans et demi seulement, le jeune milieu de terrain du Stade (formé au centre de formation ivoirien de football) intéresse les grands clubs européens. Grâce à une Coupe du monde U17 réussie, le frangin d’Angban Vincent de Paul pourrait quitter sa famille, ses amis et son club pour l’Angleterre.

Est-ce aisé pour un gamin de 15 ans et demi de jouer avec les seniors du Stade d’Abidjan ?
(Sourire) Ce n’est pas compliqué. Au contraire, c’est un plaisir pour moi…

Que vous reproche-ton dans votre jeu ?
On me reproche de ne pas tirer beaucoup au but et de ne pas être agressif, dans le bon sens du terme, sur le terrain.

Comment vous êtes-vous retrouvé chez les Eléphanteaux ?
J’avais déjà fait le tournoi de Montaigü (France). Et lorsqu’il y a eu la présélection au niveau des Eléphanteaux, le coach Alain Gouaméné m’a rappelé. C’est comme ça que j’ai été reconvoqué.

Beaucoup de sportifs ivoiriens (et africains) vous ont découvert lors de la CAN U17 au Rwanda. Quels souvenirs gardez-vous de cette première grande compétition internationale ?
Ce qui m’a le plus marqué, c’est que le jeu était très ouvert et le ballon allait très vite.

Après la CAN au Rwanda, il y a eu votre premier Mondial U17, au Mexique. Comment avez-vous vécu cette autre grande aventure ?
(Son visage s’illumine) Je n’oublierai jamais le public mexicain ni sa façon particulière de supporter.

Au plan sportif, vous avez été éliminés en 8è de finale devant la France. Avec du recul, ne pensez-vous pas être passés loin d’une belle campagne ?
On peut le dire. Nous aurions pu aller très loin. Mais l’homme propose et Dieu dispose. Nous acceptons notre rang.

Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Je ne sais pas… Je retiens que ça n’a pas marché.

Au plan personnel, êtes-vous content de votre Mondial mexicain ?
Je suis satisfait. Après chaque match, tout le monde m’appelait pour me féliciter et m’encourager. L’entraîneur même me félicitait. Tout cela me permet d’affirmer que j’ai réussi un bon tournoi.

Quelle différence faites-vous entre la CAN rwandaise et le Mondial mexicain ?
A la CAN, au Rwanda, il y avait moins de pression comparativement au Mondial au Mexique. A Mexico, il y avait une forte pression du public, des médias, etc.

De retour au Stade d’Abidjan, votre club, comment avez-vous été accueilli par vos coéquipiers ?
Tout s’est bien passé. Mes coéquipiers m’ont félicité.
Entretien réalisé par
Guy-Florentin Yaméogo
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