Visiblement, au Fpi, en tout cas dans l’entendement de bon nombre de militants et cadres de ce parti, on n’a pas encore, me semble-t-il, tout à fait appréhendé le sort qui est celui de l’ancien parti au pouvoir. Beaucoup d’entre eux ne voient pas – ou feignent de ne pas voir – qu’à l’intérieur de la grande marmite qui bout dans la cuisine des refondateurs, se trouvent des carottes presque déjà cuites à point, trahissant du coup une vérité désormais difficile à cacher : le Fpi est au bord de la faillite. Une faillite qui si elle avait été naguère morale avec toutes les monstruosités perpétrées par Gbagbo et les siens pendant la crise postélectorale, est désormais structurelle. Si au lieu de reconnaître tranquillement une défaite électorale, que la planète entière a jugée incontestable, évitant ainsi la tragédie que le peuple a vécue, ce parti avait fait preuve de philosophie en cherchant à se préparer pour les batailles à venir, il ne serait pas aujourd’hui dans ce gouffre existentiel qui compromet sérieusement son avenir.
Car, précisément, cet avenir-là est pour le moins hypothéqué. Ce n’est pas avec la récente démission du président intérimaire, qui en incarnait encore un peu la survivance, qu’on ne dira pas que la rose des socialistes ivoiriens est bel et bien en lambeaux. Koulibaly était assez bien parti pour maintenir en vie – même si c’était sous perfusion – une formation politique agonisante. A quelques mois des législatives, son départ – et celui certainement des personnes qui épousent sa cause – signe presque l’arrêt de mort des frontistes, qui souffrent désormais, disons-le tout net, d’un réel manque d’homme de charisme, capable de fédérer ce qu’il y reste encore de « forces vives ».
Mais, de toute façon, la désagrégation du Fpi avait déjà commencé avec la capture, le 11 avril dernier, de Laurent Gbagbo et il aura beau meublé tous les rêves et rêveries des frontistes, cet homme est en prison et ne risque pas d’en sortir de si tôt. Son sort n’est guère différent de celui de son épouse, encore moins du président Affi et des caciques de son parti qui l’accompagnent dans son aventure carcérale. Ces gens-là sont grillés et ce n’est par personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ont poussé trop loin le bouchon de l’abjection et de la cruauté contre leurs compatriotes en allant jusqu’à nourrir l’ambition de les exterminer avec l’achat pour plus de 800 milliards de francs d’armes de destruction massive, le recrutement de mercenaires étrangers pour qui tuer est un jeu d’enfant. On n’avait jamais vu ça en Côte d’Ivoire ! Ces gens-là ont été de véritables monstres pour notre peuple et ce n’est jamais bon de laisser des monstres en liberté. Le Fpi aurait pu se relever s’il acceptait de rompre les amarres de ces vilénies en se repentant. Mais on voit bien dans leur discours plein de morgue que ce n’est pas le cas. Tant pis !
Koré Emmanuel
Visiblement, au Fpi, en tout cas dans l’entendement de bon nombre de militants et cadres de ce parti, on n’a pas encore, me semble-t-il, tout à fait appréhendé le sort qui est celui de l’ancien parti au pouvoir. Beaucoup d’entre eux ne voient pas – ou feignent de ne pas voir – qu’à l’intérieur de la grande marmite qui bout dans la cuisine des refondateurs, se trouvent des carottes presque déjà cuites à point, trahissant du coup une vérité désormais difficile à cacher : le Fpi est au bord de la faillite. Une faillite qui si elle avait été naguère morale avec toutes les monstruosités perpétrées par Gbagbo et les siens pendant la crise postélectorale, est désormais structurelle. Si au lieu de reconnaître tranquillement une défaite électorale, que la planète entière a jugée incontestable, évitant ainsi la tragédie que le peuple a vécue, ce parti avait fait preuve de philosophie en cherchant à se préparer pour les batailles à venir, il ne serait pas aujourd’hui dans ce gouffre existentiel qui compromet sérieusement son avenir.
Car, précisément, cet avenir-là est pour le moins hypothéqué. Ce n’est pas avec la récente démission du président intérimaire, qui en incarnait encore un peu la survivance, qu’on ne dira pas que la rose des socialistes ivoiriens est bel et bien en lambeaux. Koulibaly était assez bien parti pour maintenir en vie – même si c’était sous perfusion – une formation politique agonisante. A quelques mois des législatives, son départ – et celui certainement des personnes qui épousent sa cause – signe presque l’arrêt de mort des frontistes, qui souffrent désormais, disons-le tout net, d’un réel manque d’homme de charisme, capable de fédérer ce qu’il y reste encore de « forces vives ».
Mais, de toute façon, la désagrégation du Fpi avait déjà commencé avec la capture, le 11 avril dernier, de Laurent Gbagbo et il aura beau meublé tous les rêves et rêveries des frontistes, cet homme est en prison et ne risque pas d’en sortir de si tôt. Son sort n’est guère différent de celui de son épouse, encore moins du président Affi et des caciques de son parti qui l’accompagnent dans son aventure carcérale. Ces gens-là sont grillés et ce n’est par personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ont poussé trop loin le bouchon de l’abjection et de la cruauté contre leurs compatriotes en allant jusqu’à nourrir l’ambition de les exterminer avec l’achat pour plus de 800 milliards de francs d’armes de destruction massive, le recrutement de mercenaires étrangers pour qui tuer est un jeu d’enfant. On n’avait jamais vu ça en Côte d’Ivoire ! Ces gens-là ont été de véritables monstres pour notre peuple et ce n’est jamais bon de laisser des monstres en liberté. Le Fpi aurait pu se relever s’il acceptait de rompre les amarres de ces vilénies en se repentant. Mais on voit bien dans leur discours plein de morgue que ce n’est pas le cas. Tant pis !
Koré Emmanuel
Visiblement, au Fpi, en tout cas dans l’entendement de bon nombre de militants et cadres de ce parti, on n’a pas encore, me semble-t-il, tout à fait appréhendé le sort qui est celui de l’ancien parti au pouvoir. Beaucoup d’entre eux ne voient pas – ou feignent de ne pas voir – qu’à l’intérieur de la grande marmite qui bout dans la cuisine des refondateurs, se trouvent des carottes presque déjà cuites à point, trahissant du coup une vérité désormais difficile à cacher : le Fpi est au bord de la faillite. Une faillite qui si elle avait été naguère morale avec toutes les monstruosités perpétrées par Gbagbo et les siens pendant la crise postélectorale, est désormais structurelle. Si au lieu de reconnaître tranquillement une défaite électorale, que la planète entière a jugée incontestable, évitant ainsi la tragédie que le peuple a vécue, ce parti avait fait preuve de philosophie en cherchant à se préparer pour les batailles à venir, il ne serait pas aujourd’hui dans ce gouffre existentiel qui compromet sérieusement son avenir.
Car, précisément, cet avenir-là est pour le moins hypothéqué. Ce n’est pas avec la récente démission du président intérimaire, qui en incarnait encore un peu la survivance, qu’on ne dira pas que la rose des socialistes ivoiriens est bel et bien en lambeaux. Koulibaly était assez bien parti pour maintenir en vie – même si c’était sous perfusion – une formation politique agonisante. A quelques mois des législatives, son départ – et celui certainement des personnes qui épousent sa cause – signe presque l’arrêt de mort des frontistes, qui souffrent désormais, disons-le tout net, d’un réel manque d’homme de charisme, capable de fédérer ce qu’il y reste encore de « forces vives ».
Mais, de toute façon, la désagrégation du Fpi avait déjà commencé avec la capture, le 11 avril dernier, de Laurent Gbagbo et il aura beau meublé tous les rêves et rêveries des frontistes, cet homme est en prison et ne risque pas d’en sortir de si tôt. Son sort n’est guère différent de celui de son épouse, encore moins du président Affi et des caciques de son parti qui l’accompagnent dans son aventure carcérale. Ces gens-là sont grillés et ce n’est par personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ont poussé trop loin le bouchon de l’abjection et de la cruauté contre leurs compatriotes en allant jusqu’à nourrir l’ambition de les exterminer avec l’achat pour plus de 800 milliards de francs d’armes de destruction massive, le recrutement de mercenaires étrangers pour qui tuer est un jeu d’enfant. On n’avait jamais vu ça en Côte d’Ivoire ! Ces gens-là ont été de véritables monstres pour notre peuple et ce n’est jamais bon de laisser des monstres en liberté. Le Fpi aurait pu se relever s’il acceptait de rompre les amarres de ces vilénies en se repentant. Mais on voit bien dans leur discours plein de morgue que ce n’est pas le cas. Tant pis !
Koré Emmanuel
Car, précisément, cet avenir-là est pour le moins hypothéqué. Ce n’est pas avec la récente démission du président intérimaire, qui en incarnait encore un peu la survivance, qu’on ne dira pas que la rose des socialistes ivoiriens est bel et bien en lambeaux. Koulibaly était assez bien parti pour maintenir en vie – même si c’était sous perfusion – une formation politique agonisante. A quelques mois des législatives, son départ – et celui certainement des personnes qui épousent sa cause – signe presque l’arrêt de mort des frontistes, qui souffrent désormais, disons-le tout net, d’un réel manque d’homme de charisme, capable de fédérer ce qu’il y reste encore de « forces vives ».
Mais, de toute façon, la désagrégation du Fpi avait déjà commencé avec la capture, le 11 avril dernier, de Laurent Gbagbo et il aura beau meublé tous les rêves et rêveries des frontistes, cet homme est en prison et ne risque pas d’en sortir de si tôt. Son sort n’est guère différent de celui de son épouse, encore moins du président Affi et des caciques de son parti qui l’accompagnent dans son aventure carcérale. Ces gens-là sont grillés et ce n’est par personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ont poussé trop loin le bouchon de l’abjection et de la cruauté contre leurs compatriotes en allant jusqu’à nourrir l’ambition de les exterminer avec l’achat pour plus de 800 milliards de francs d’armes de destruction massive, le recrutement de mercenaires étrangers pour qui tuer est un jeu d’enfant. On n’avait jamais vu ça en Côte d’Ivoire ! Ces gens-là ont été de véritables monstres pour notre peuple et ce n’est jamais bon de laisser des monstres en liberté. Le Fpi aurait pu se relever s’il acceptait de rompre les amarres de ces vilénies en se repentant. Mais on voit bien dans leur discours plein de morgue que ce n’est pas le cas. Tant pis !
Koré Emmanuel
Visiblement, au Fpi, en tout cas dans l’entendement de bon nombre de militants et cadres de ce parti, on n’a pas encore, me semble-t-il, tout à fait appréhendé le sort qui est celui de l’ancien parti au pouvoir. Beaucoup d’entre eux ne voient pas – ou feignent de ne pas voir – qu’à l’intérieur de la grande marmite qui bout dans la cuisine des refondateurs, se trouvent des carottes presque déjà cuites à point, trahissant du coup une vérité désormais difficile à cacher : le Fpi est au bord de la faillite. Une faillite qui si elle avait été naguère morale avec toutes les monstruosités perpétrées par Gbagbo et les siens pendant la crise postélectorale, est désormais structurelle. Si au lieu de reconnaître tranquillement une défaite électorale, que la planète entière a jugée incontestable, évitant ainsi la tragédie que le peuple a vécue, ce parti avait fait preuve de philosophie en cherchant à se préparer pour les batailles à venir, il ne serait pas aujourd’hui dans ce gouffre existentiel qui compromet sérieusement son avenir.
Car, précisément, cet avenir-là est pour le moins hypothéqué. Ce n’est pas avec la récente démission du président intérimaire, qui en incarnait encore un peu la survivance, qu’on ne dira pas que la rose des socialistes ivoiriens est bel et bien en lambeaux. Koulibaly était assez bien parti pour maintenir en vie – même si c’était sous perfusion – une formation politique agonisante. A quelques mois des législatives, son départ – et celui certainement des personnes qui épousent sa cause – signe presque l’arrêt de mort des frontistes, qui souffrent désormais, disons-le tout net, d’un réel manque d’homme de charisme, capable de fédérer ce qu’il y reste encore de « forces vives ».
Mais, de toute façon, la désagrégation du Fpi avait déjà commencé avec la capture, le 11 avril dernier, de Laurent Gbagbo et il aura beau meublé tous les rêves et rêveries des frontistes, cet homme est en prison et ne risque pas d’en sortir de si tôt. Son sort n’est guère différent de celui de son épouse, encore moins du président Affi et des caciques de son parti qui l’accompagnent dans son aventure carcérale. Ces gens-là sont grillés et ce n’est par personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ont poussé trop loin le bouchon de l’abjection et de la cruauté contre leurs compatriotes en allant jusqu’à nourrir l’ambition de les exterminer avec l’achat pour plus de 800 milliards de francs d’armes de destruction massive, le recrutement de mercenaires étrangers pour qui tuer est un jeu d’enfant. On n’avait jamais vu ça en Côte d’Ivoire ! Ces gens-là ont été de véritables monstres pour notre peuple et ce n’est jamais bon de laisser des monstres en liberté. Le Fpi aurait pu se relever s’il acceptait de rompre les amarres de ces vilénies en se repentant. Mais on voit bien dans leur discours plein de morgue que ce n’est pas le cas. Tant pis !
Koré Emmanuel
Visiblement, au Fpi, en tout cas dans l’entendement de bon nombre de militants et cadres de ce parti, on n’a pas encore, me semble-t-il, tout à fait appréhendé le sort qui est celui de l’ancien parti au pouvoir. Beaucoup d’entre eux ne voient pas – ou feignent de ne pas voir – qu’à l’intérieur de la grande marmite qui bout dans la cuisine des refondateurs, se trouvent des carottes presque déjà cuites à point, trahissant du coup une vérité désormais difficile à cacher : le Fpi est au bord de la faillite. Une faillite qui si elle avait été naguère morale avec toutes les monstruosités perpétrées par Gbagbo et les siens pendant la crise postélectorale, est désormais structurelle. Si au lieu de reconnaître tranquillement une défaite électorale, que la planète entière a jugée incontestable, évitant ainsi la tragédie que le peuple a vécue, ce parti avait fait preuve de philosophie en cherchant à se préparer pour les batailles à venir, il ne serait pas aujourd’hui dans ce gouffre existentiel qui compromet sérieusement son avenir.
Car, précisément, cet avenir-là est pour le moins hypothéqué. Ce n’est pas avec la récente démission du président intérimaire, qui en incarnait encore un peu la survivance, qu’on ne dira pas que la rose des socialistes ivoiriens est bel et bien en lambeaux. Koulibaly était assez bien parti pour maintenir en vie – même si c’était sous perfusion – une formation politique agonisante. A quelques mois des législatives, son départ – et celui certainement des personnes qui épousent sa cause – signe presque l’arrêt de mort des frontistes, qui souffrent désormais, disons-le tout net, d’un réel manque d’homme de charisme, capable de fédérer ce qu’il y reste encore de « forces vives ».
Mais, de toute façon, la désagrégation du Fpi avait déjà commencé avec la capture, le 11 avril dernier, de Laurent Gbagbo et il aura beau meublé tous les rêves et rêveries des frontistes, cet homme est en prison et ne risque pas d’en sortir de si tôt. Son sort n’est guère différent de celui de son épouse, encore moins du président Affi et des caciques de son parti qui l’accompagnent dans son aventure carcérale. Ces gens-là sont grillés et ce n’est par personne d’autre qu’eux-mêmes. Ils ont poussé trop loin le bouchon de l’abjection et de la cruauté contre leurs compatriotes en allant jusqu’à nourrir l’ambition de les exterminer avec l’achat pour plus de 800 milliards de francs d’armes de destruction massive, le recrutement de mercenaires étrangers pour qui tuer est un jeu d’enfant. On n’avait jamais vu ça en Côte d’Ivoire ! Ces gens-là ont été de véritables monstres pour notre peuple et ce n’est jamais bon de laisser des monstres en liberté. Le Fpi aurait pu se relever s’il acceptait de rompre les amarres de ces vilénies en se repentant. Mais on voit bien dans leur discours plein de morgue que ce n’est pas le cas. Tant pis !
Koré Emmanuel