L’exil l’a complètement défiguré, même s’il était connu pour être un homme sans visage.
Comme un pauvre homme en errance, Blé Goudé Charles, le soudard de la refondation est à la peine. Ce sofa de l’ancien régime ne finit pas de déparler tant il porte en lui, la haine et la mauvaise foi, comme des tares congénitales. On ne pouvait mieux espérer d’un tricheur et d’un faussaire patenté. A lire son fatras de galimatias, reproduit tel un bréviaire par les relais de la refondation, on ne peut que s’écrier, à l’instar de l’auteur des « Soleils des Indépendances » : « Depuis quand a-t-on vu le molosse se débarrasser de sa déhontée façon de s’asseoir » ? Blé Goudé verse des larmes de crocodiles pour les morts bien sélectionnés des évènements post- électoraux. Pourquoi oublie t-il les nombreuses victimes de la décennie de pouvoir de Laurent Gbagbo ? « Le roi de la machette » de l’Université peut-il ignorer les étudiants passés de vie à trépas parce qu’ils n’épousaient pas les thèses de son maitre à penser ? Ah, Blé Goudé ! Il ose parler, lui qui a les mains trempées dans le sang de la République. C’est vraiment le monde à l’envers. Notre bonhomme parle aussi de tribalisme. « On est où là ? » pour emprunter à l’imagerie populaire. Il cite des ministres qui seraient du Nord, prenant bien le soin de ne pas dire la provenance des autres membres du gouvernement. La preuve que le pouvoir Gbagbo avait perdu totalement le Nord. Qui aimait si bien dire à ses compatriotes stupéfaits que « la patrie, c’est le village » ? Quels sont ceux qui s’exprimaient entre eux, dans la langue du terroir, à la Présidence de la République ?
L’amnésie est vraiment la chose la mieux partagée à la refondation. Blé Goudé vante les mérites de Michel Gbagbo qui a courageusement rejoint son père dans son infortune. Mais pourquoi diantre, lui le brave et le courageux, a-t-il pris ses jambes à son cou, pour ensuite raconter des fadaises, loin du pays ? Pourquoi cet homme qui prétendait ne pas avoir un autre point de chute, a-t-il pris la clé des champs ? Drôle de Patriote, s’il en est ! Loin du pays, il peut donc claironner et ergoter. Peine perdue ! La nouvelle Côte d’Ivoire est au travail après dix ans d’errance et d’errements
Comme un pauvre homme en errance, Blé Goudé Charles, le soudard de la refondation est à la peine. Ce sofa de l’ancien régime ne finit pas de déparler tant il porte en lui, la haine et la mauvaise foi, comme des tares congénitales. On ne pouvait mieux espérer d’un tricheur et d’un faussaire patenté. A lire son fatras de galimatias, reproduit tel un bréviaire par les relais de la refondation, on ne peut que s’écrier, à l’instar de l’auteur des « Soleils des Indépendances » : « Depuis quand a-t-on vu le molosse se débarrasser de sa déhontée façon de s’asseoir » ? Blé Goudé verse des larmes de crocodiles pour les morts bien sélectionnés des évènements post- électoraux. Pourquoi oublie t-il les nombreuses victimes de la décennie de pouvoir de Laurent Gbagbo ? « Le roi de la machette » de l’Université peut-il ignorer les étudiants passés de vie à trépas parce qu’ils n’épousaient pas les thèses de son maitre à penser ? Ah, Blé Goudé ! Il ose parler, lui qui a les mains trempées dans le sang de la République. C’est vraiment le monde à l’envers. Notre bonhomme parle aussi de tribalisme. « On est où là ? » pour emprunter à l’imagerie populaire. Il cite des ministres qui seraient du Nord, prenant bien le soin de ne pas dire la provenance des autres membres du gouvernement. La preuve que le pouvoir Gbagbo avait perdu totalement le Nord. Qui aimait si bien dire à ses compatriotes stupéfaits que « la patrie, c’est le village » ? Quels sont ceux qui s’exprimaient entre eux, dans la langue du terroir, à la Présidence de la République ?
L’amnésie est vraiment la chose la mieux partagée à la refondation. Blé Goudé vante les mérites de Michel Gbagbo qui a courageusement rejoint son père dans son infortune. Mais pourquoi diantre, lui le brave et le courageux, a-t-il pris ses jambes à son cou, pour ensuite raconter des fadaises, loin du pays ? Pourquoi cet homme qui prétendait ne pas avoir un autre point de chute, a-t-il pris la clé des champs ? Drôle de Patriote, s’il en est ! Loin du pays, il peut donc claironner et ergoter. Peine perdue ! La nouvelle Côte d’Ivoire est au travail après dix ans d’errance et d’errements
