NIAMEY - Le conseiller principal en Communication du président nigérien, Boubacar Mariko, est détenu depuis plusieurs jours à la prison civile de Niamey pour vol de caméra, a confié vendredi à Xinhua une source policière.
A en croire cette source, tout est parti d'une plainte de l'ancien attaché de presse du président de la transition, Ibrahim Elhadj Ousmane, contre l'hebdomadaire nigérien "Le Canard Déchainé " qui le soupçonnait d'être l'auteur de la disparition d'une caméra à la présidence de la République après le coup d'Etat du 18 février dernier.
La direction de la police judiciaire a ainsi procédé le 19 juillet à l'interpellation, du plaignant, du directeur de publication du journal "Le Canard Déchainé", Aliou Oumarou Modibo, ainsi que du conseiller principal en Communication du chef de l'Etat.
Après une confrontation, le conseiller du président Issoufou a avoué être en possession du caméra.
Boubacar Mariko a été déféré jeudi devant le parquet de Niamey pour détournement de bien public.
Le directeur de publication du journal "Le Canard Déchainé" a aussi été arrêté pour "dénonciation calomnieuse", bien que la loi nigérienne interdise la détention préventive en matière de presse.
A en croire cette source, tout est parti d'une plainte de l'ancien attaché de presse du président de la transition, Ibrahim Elhadj Ousmane, contre l'hebdomadaire nigérien "Le Canard Déchainé " qui le soupçonnait d'être l'auteur de la disparition d'une caméra à la présidence de la République après le coup d'Etat du 18 février dernier.
La direction de la police judiciaire a ainsi procédé le 19 juillet à l'interpellation, du plaignant, du directeur de publication du journal "Le Canard Déchainé", Aliou Oumarou Modibo, ainsi que du conseiller principal en Communication du chef de l'Etat.
Après une confrontation, le conseiller du président Issoufou a avoué être en possession du caméra.
Boubacar Mariko a été déféré jeudi devant le parquet de Niamey pour détournement de bien public.
Le directeur de publication du journal "Le Canard Déchainé" a aussi été arrêté pour "dénonciation calomnieuse", bien que la loi nigérienne interdise la détention préventive en matière de presse.