L’opération d’identification des Frci et de profilage des jeunes associés à l’intérieur du pays n’a pas donné les résultats escomptés. De Yamoussoukro à Boundiali en passant par Bouaké, Katiola et Korhogo, le nombre des personnes profilées est en deçà des attentes.
Sur 614 attendus seulement 386 sont identifiés. Soit un total de 63%. Yamoussoukro est la seule ville qui enregistré un taux de profilés important. En effet sur 325 ciblés 254 se sont présentés devant les agents du Pnnrc. Le taux de jeunes à profiler à commencé à décroitre à partir de Bouaké. Sur les 212 qui sont concernés par l’opération dans cette localité, seulement 75 se sont fait enrôler. Katiola détient le taux le plus faible avec seulement avec seulement 10 enrôlés sur 17 attendus. C’est le même constat à Korhogo. La cité du Poro n’a pas enregistré un nombre important de profilés. Samedi dernier l’équipe de profilage n’a pas eu grand-chose à faire à l’Etat-major de Korhogo. Sur 16 ciblés 14 ont pris part à l’opération.
La situation était identique à Boundiali. Dimanche Sur les 44 inscrits sur la liste, seulement 33 ont répondu présent à l’appel du Pnrrc au commandement de la zone9. « Ce faible taux s’explique par les derniers développements de la crise postélectorale. Bon nombre de combattants sont descendus à Abidjan», précise Lamah Paul, l’assistant du coordonateur pour les opérations.
Le manque d’information selon certains pourrait expliquer ce taux de présence. Une thèse que confirme l’adjudant Koné Daouda de l’Etat-major. Il estime que l’information n’a pas été véhiculée comme il se devait. «J’ai été informé du passage de l’équipe de profilage très tard.
Je devrais être profilé à Katiola mais n’ayant eu l’information à temps je me suis déporté à Korhogo pour faire profiler», regrette Koné Olivier. Pareil pour Konan Alfred. Il est venu spécialement d’Abidjan pour se faire enrôler à Bouaké. Arrivé en retard, il poursuit l’équipe du Pnrrc depuis cette étape. « Je suis derrière eux depuis Bouaké au moment ou j’arrivais l’équipe n’y était. J’ai donc pris un car pour venir me faire enrôler ici à Korhogo ». Le moins qu’on peut dire c’est que la première de l’identification à l’intérieur n’a pas connu d’engouement.
Zana Coulibaly (envoyé spécial à Korhogo)
Sur 614 attendus seulement 386 sont identifiés. Soit un total de 63%. Yamoussoukro est la seule ville qui enregistré un taux de profilés important. En effet sur 325 ciblés 254 se sont présentés devant les agents du Pnnrc. Le taux de jeunes à profiler à commencé à décroitre à partir de Bouaké. Sur les 212 qui sont concernés par l’opération dans cette localité, seulement 75 se sont fait enrôler. Katiola détient le taux le plus faible avec seulement avec seulement 10 enrôlés sur 17 attendus. C’est le même constat à Korhogo. La cité du Poro n’a pas enregistré un nombre important de profilés. Samedi dernier l’équipe de profilage n’a pas eu grand-chose à faire à l’Etat-major de Korhogo. Sur 16 ciblés 14 ont pris part à l’opération.
La situation était identique à Boundiali. Dimanche Sur les 44 inscrits sur la liste, seulement 33 ont répondu présent à l’appel du Pnrrc au commandement de la zone9. « Ce faible taux s’explique par les derniers développements de la crise postélectorale. Bon nombre de combattants sont descendus à Abidjan», précise Lamah Paul, l’assistant du coordonateur pour les opérations.
Le manque d’information selon certains pourrait expliquer ce taux de présence. Une thèse que confirme l’adjudant Koné Daouda de l’Etat-major. Il estime que l’information n’a pas été véhiculée comme il se devait. «J’ai été informé du passage de l’équipe de profilage très tard.
Je devrais être profilé à Katiola mais n’ayant eu l’information à temps je me suis déporté à Korhogo pour faire profiler», regrette Koné Olivier. Pareil pour Konan Alfred. Il est venu spécialement d’Abidjan pour se faire enrôler à Bouaké. Arrivé en retard, il poursuit l’équipe du Pnrrc depuis cette étape. « Je suis derrière eux depuis Bouaké au moment ou j’arrivais l’équipe n’y était. J’ai donc pris un car pour venir me faire enrôler ici à Korhogo ». Le moins qu’on peut dire c’est que la première de l’identification à l’intérieur n’a pas connu d’engouement.
Zana Coulibaly (envoyé spécial à Korhogo)
