LP : Vous sortez d’une audience avec le Président de la République. De quoi a-t-il été question ?
YPN : Nous sommes venus pour nous concerter avec le Président de la République dans une période postélectorale très difficile. La sortie de crise doit être une affaire de tous. Nous avons discuté d’un ensemble de problèmes qui concernent notre pays.
LP : Demeurez-vous à votre poste de président du Conseil constitutionnel ?
YPN : Il y a trop de problème en Côte d’Ivoire. Nous devons aller dans la dynamique de la normalisation et de la réconciliation nationale.
LP : Des jeunes ont manifesté récemment pour demander votre démission à la tête du Conseil constitutionnel. Avez-vous un commentaire.
YPN : Je n’étais pas au pays. J’étais au Ghana. Je n’étais pas là, donc je n’en sais rien.
LP : Le Conseil constitutionnel
va-t-il changer de tête ?
YPN : Je n’en sais rien.
YPN : Nous sommes venus pour nous concerter avec le Président de la République dans une période postélectorale très difficile. La sortie de crise doit être une affaire de tous. Nous avons discuté d’un ensemble de problèmes qui concernent notre pays.
LP : Demeurez-vous à votre poste de président du Conseil constitutionnel ?
YPN : Il y a trop de problème en Côte d’Ivoire. Nous devons aller dans la dynamique de la normalisation et de la réconciliation nationale.
LP : Des jeunes ont manifesté récemment pour demander votre démission à la tête du Conseil constitutionnel. Avez-vous un commentaire.
YPN : Je n’étais pas au pays. J’étais au Ghana. Je n’étais pas là, donc je n’en sais rien.
LP : Le Conseil constitutionnel
va-t-il changer de tête ?
YPN : Je n’en sais rien.