Le 3 décembre 2010, Yao N’Dré, alors président du Conseil constitutionnel indique qu’il y a eu des fraudes dans certaines circonscriptions électorales, dans le nord du pays. Il annule donc le vote dans ces lieux. En violation flagrante de la loi, il proclame son ami Laurent Gbagbo, vainqueur de la présidentielle. Le 5 mai, arrivé d’Accra où il s’est réfugié après la capture du président qu’il a déclaré élu, le même Yao N’Dré, toute honte bue, évoquant des «considérants» qu’il a puisés dans le sac du déshonneur, proclame, Alassane Ouattara, nouveau vainqueur de la même élection présidentielle. A l’occasion, il reconnaissait qu’il faisait partie des Ivoiriens qui ont été possédés par Satan. Si le professeur agrégé de droit avait eu la conviction que celui qui l’avait placé à ce poste prestigieux, avait réellement remporté la présidentielle, jamais, il n’aurait accepté de se dédire. S’il est venu aussi facilement à Abidjan, pour proclamer un autre résultat, c’est parce que sa conscience était lourdement chargé. On ne peut pas dire de quelqu’un qui a agi sous l’emprise de Lucifer qu’il avait la lucidité nécessaire pour dire la vérité. Yao N’Dré avait violé la Constitution, la bible des refondateurs. Le texte fondamental ne l’autorise pas à désigner le vainqueur d’une élection après annulation significative des résultats de vote dans des circonscriptions dont certaines, d’ailleurs, n’ont été nullement, objet de contestation par aucun candidat. Si le professeur agrégé était sûr de son arrêt, il aurait démissionné. Or, il ne l’a pas fait. Alors, quand le vrai vainqueur de la présidentielle décide de le remplacer à la tête d’une institution dont il a terni l’image, il fait œuvre utile. Il sanctionne quelqu’un qui n’a pas respecté les dispositions du texte fondamental, bible des refondateurs. Au lieu d’engager une polémique inutile et ridicule, le bon sens impose que l’on rende hommage au nouveau chef de l’Etat, homme de droit, gardien vigilant de nos lois. Les critiques d’aujourd’hui oublient que nous avons changé d’ère. Le désordre, les violations permanentes des règles sociales, l’impunité et autres n’ont plus droit de cité dans cette République présidée par des houphouétistes. Ce qui était hier, ne peut être aujourd’hui. A raison celui qui demandait à ces critiques, récemment, de mettre leur logiciel à jour. Sinon, ils risquent de ne pas trouver leur place dans une Côte d’Ivoire qui retrouve les valeurs qui ont fait sa réputation de pays qui compte dans le concert des nations
Trait d’esprit : Merci Paul !
L’honneur perdu. Malgré l’élégance du Brave-Tchè. Il n’a pas voulu lâcher le morceau. Et ce qui devait arriver. Arriva ! Yao Paul N’Dré. Ci-devant prof de Droit( ?) Tripatouilleur devant l’éternel.Contraint de rendre le tablier. Bonjour ! La Maca. Il manque à l’appel. Pour la mémoire des victimes. Ça ne serait que justice.
Coulibaly B.
Trait d’esprit : Merci Paul !
L’honneur perdu. Malgré l’élégance du Brave-Tchè. Il n’a pas voulu lâcher le morceau. Et ce qui devait arriver. Arriva ! Yao Paul N’Dré. Ci-devant prof de Droit( ?) Tripatouilleur devant l’éternel.Contraint de rendre le tablier. Bonjour ! La Maca. Il manque à l’appel. Pour la mémoire des victimes. Ça ne serait que justice.
Coulibaly B.