La gendarmerie nationale a ruiné les espoirs de ceux qui espéraient un retour aux affaires de l’ex-chef de l’Etat, par un coup de force. L’homme qui coordonnait sur place les activités de déstabilisation a été neutralisé.
Grosse prise du colonel Vako Bamba, commandant en second de la gendarmerie nationale. Hier, à 1 h du matin, l’adjoint du colonel-major, Kouakou Gervais, et ses hommes ont mis la main sur le cerveau du coup d’Etat en préparation des pro-Gbagbo. Le colonel Adou Donga Denis, ancien chef de cabinet du général Kassaraté, ex-commandant supérieur de la gendarmerie, a été appréhendé à l’hôtel Ibis, au Plateau, en compagnie d’un chef milicien dont nous taisons volontairement le nom pour les besoins de l’enquête. L’officier supérieur était en pleine réunion avec son complice qui a pris la fuite lorsque le colonel Vako et ses éléments sont arrivés sur les lieux. L’ex-chef de cabinet a été pris la main dans le sac. Des documents confidentiels détaillant le plan d’attaque ont été saisis sur place. La perquisition du véhicule du colonel Adou, garé devant l’hôtel, a permis la découverte de plusieurs armes dont un AK 47 (Kalachnikov), un pistolet automatique et un pistolet semi-automatique. Les limiers se sont déportés au domicile du colonel «putschiste». Là-bas, le colonel Vako et ses hommes ont saisi une quantité énorme de kalachnikovs, des casques lourds, une grande quantité de gilets par balles, plusieurs centaines de sachets de munitions de kalachnikovs et plusieurs sachets de munitions de calibre 12, deux grenades lacrymogènes, deux grenades offensives, une caisse de munitions AA52. En plus des armes, les enquêteurs ont mis la main sur une lettre signée des mains du pasteur Koné Malachie et une carte d’identité malienne portant la photo du colonel Adou Donga, mais avec une fausse identité. Après la perquisition, le colonel « putschiste » a été écroué dans une cellule au camp commando de Koumassi. Il faut dire que depuis la prise effective du pouvoir par le président Alassane Ouattara, les services de renseignement avaient donné aux autorités militaires, une pile d’informations relatives aux activités subversives du colonel Adou. Les limiers de la gendarmerie suivaient ses mouvements à Abidjan, à l’intérieur du pays et à l’extérieur. Le colonel servait de lien avec les officiers déserteurs se trouvant au Ghana, tels que le colonel Konan Boniface, le cdt Jean Noël Abéhi, et d’autres miliciens sans oublier les membres de la galaxie patriotique.
Bahi K.
Grosse prise du colonel Vako Bamba, commandant en second de la gendarmerie nationale. Hier, à 1 h du matin, l’adjoint du colonel-major, Kouakou Gervais, et ses hommes ont mis la main sur le cerveau du coup d’Etat en préparation des pro-Gbagbo. Le colonel Adou Donga Denis, ancien chef de cabinet du général Kassaraté, ex-commandant supérieur de la gendarmerie, a été appréhendé à l’hôtel Ibis, au Plateau, en compagnie d’un chef milicien dont nous taisons volontairement le nom pour les besoins de l’enquête. L’officier supérieur était en pleine réunion avec son complice qui a pris la fuite lorsque le colonel Vako et ses éléments sont arrivés sur les lieux. L’ex-chef de cabinet a été pris la main dans le sac. Des documents confidentiels détaillant le plan d’attaque ont été saisis sur place. La perquisition du véhicule du colonel Adou, garé devant l’hôtel, a permis la découverte de plusieurs armes dont un AK 47 (Kalachnikov), un pistolet automatique et un pistolet semi-automatique. Les limiers se sont déportés au domicile du colonel «putschiste». Là-bas, le colonel Vako et ses hommes ont saisi une quantité énorme de kalachnikovs, des casques lourds, une grande quantité de gilets par balles, plusieurs centaines de sachets de munitions de kalachnikovs et plusieurs sachets de munitions de calibre 12, deux grenades lacrymogènes, deux grenades offensives, une caisse de munitions AA52. En plus des armes, les enquêteurs ont mis la main sur une lettre signée des mains du pasteur Koné Malachie et une carte d’identité malienne portant la photo du colonel Adou Donga, mais avec une fausse identité. Après la perquisition, le colonel « putschiste » a été écroué dans une cellule au camp commando de Koumassi. Il faut dire que depuis la prise effective du pouvoir par le président Alassane Ouattara, les services de renseignement avaient donné aux autorités militaires, une pile d’informations relatives aux activités subversives du colonel Adou. Les limiers de la gendarmerie suivaient ses mouvements à Abidjan, à l’intérieur du pays et à l’extérieur. Le colonel servait de lien avec les officiers déserteurs se trouvant au Ghana, tels que le colonel Konan Boniface, le cdt Jean Noël Abéhi, et d’autres miliciens sans oublier les membres de la galaxie patriotique.
Bahi K.
