Sa chanson est devenue l’hymne de toutes les cérémonies d’hommage au président de la République, Alassane Ouattara. Et, elle roule carrosse en ce moment. Sortie de sa Nissan de type 4x4 et parée de bijoux en or de façon ostentatoire, la vedette de la musique mandingue, Affou Keïta, qui s’est prêtée aux questions de votre quotidien préféré, parle des effets positifs de cet ‘’Atalaku pour Ado’’, qui est, dit-elle, un pur hasard.
Vous avez beaucoup de succès actuellement avec une chanson : ‘’Atalaku pour Ado’’. Comment est née cette idée ?
Mon intention première, en composant cette chanson, était de mettre fin à la guerre. Les combats n’ont jamais rien arrangé dans ce monde. C’est ce message que je lance dans cette chanson. Toutes les formes de conflit sont à bannir.
Où l’avez-vous fait enregistrer ?
La chanson qui est sur le marché ne figure pas sur un album ; elle n’est même pas un single officiel. Pour l’histoire, j’ai fait, un jour, appel à deux de mes musiciens pour essayer une chanson. L’objectif était de lui donner un rythme ensuite voir si elle pouvait figurer sur mon nouvel opus. Ce sont les pirates qui, je ne sais comment, l’ont mise sur le marché. Même le titre est d’eux. Nous avons fait la version finie et elle sera officiellement disponible très bientôt.
Pensez-vous qu’elle aura le même succès que celle que les pirates proposent ?
Une maquette et une mélodie sorties d’un studio d’enregistrement ne sont pas pareilles. Il y a une grande différence. L’opus comportera 12 décibels et pour le titre, ce sera une surprise.
Certaines personnes vous reprochent de trop vous afficher…
Chez nous les Odiennéka, il y a un proverbe qui dit que si ton ami s’oppose à quelqu’un, c’est lui que tu soutiens. Mais si c’est contre toi-même qu’il se dresse, tu te soutiendras toi-même. Si j’ai choisi mon parti, c’est qu’il y a eu beaucoup d’eaux qui ont coulé avant.
Qu’est-ce à dire ?
J’avais des amis de l’autre côté. Ce sont les Ivoiriens qui ont fait de la politique une affaire de conflit. En principe, elle n’est pas source de conflit. Une mère et son fils, tout comme un homme et son épouse peuvent avoir des partis différents. Ça ne gêne en rien. La formation où on se sent le mieux, c’est là qu’on va.
Quels types de relation entretenez-vous aujourd’hui avec vos amis de l’autre côté ?
Le courant passe bien. Seule la maladie constitue, pour moi, notre plus grand ennemi. Quand on se dit qu’on a des hommes qui nous veulent du mal, on n’arrive plus à aller de l’avant.
Certains sont encore hors du pays, quel message leur lancez-vous ?
Qu’ils reviennent. La guerre est finie. Nous prions Dieu pour qu’ils nous retrouvent au plus tôt.
Quelles sont vos relations avec Kandé Kanté avec qui vous étiez proche ?
Tout va bien entre nous. Kandé va revenir. Qu’a-t-elle fait ? Elle ne se reproche rien. A un moment donné, tout le monde était sorti. Moi pareillement. Je crois que c’est par rapport à ses rendez-vous à l’extérieur qu’elle tarde encore. Sinon, elle sera là.
Certains artistes vous reprochent d’être gonflée…
On ne peut pas juger quelqu’un sans l’avoir approché. Je demande que ces personnes viennent vers moi pour savoir comment je suis. Toute vantardise mise à part, je sais que je suis très gentille.
Comment se porte votre couple avec le commandant du groupement tactique 9 des forces républicaines, Koné Gaoussou dit Jah Gao ?
Notre mariage est au beau fixe. Je l’aime bien et lui aussi m’apprécie. Et, la vie continue.
Le fait d’avoir choisi un ex-rebelle ne gêne-t-il pas vos fans ?
(Elle soupire longuement). C’est ce rebelle-là que je veux. C’est lui que j’ai choisi et cela n’a rien à voir avec ma carrière. C’est ma vie privée. Qu’il soit un ex-rebelle ou non, nous nous sommes vus, nous nous sommes aimés et nous avons choisi de vivre ensemble.
Entretien réalisé par Sanou A.
Vous avez beaucoup de succès actuellement avec une chanson : ‘’Atalaku pour Ado’’. Comment est née cette idée ?
Mon intention première, en composant cette chanson, était de mettre fin à la guerre. Les combats n’ont jamais rien arrangé dans ce monde. C’est ce message que je lance dans cette chanson. Toutes les formes de conflit sont à bannir.
Où l’avez-vous fait enregistrer ?
La chanson qui est sur le marché ne figure pas sur un album ; elle n’est même pas un single officiel. Pour l’histoire, j’ai fait, un jour, appel à deux de mes musiciens pour essayer une chanson. L’objectif était de lui donner un rythme ensuite voir si elle pouvait figurer sur mon nouvel opus. Ce sont les pirates qui, je ne sais comment, l’ont mise sur le marché. Même le titre est d’eux. Nous avons fait la version finie et elle sera officiellement disponible très bientôt.
Pensez-vous qu’elle aura le même succès que celle que les pirates proposent ?
Une maquette et une mélodie sorties d’un studio d’enregistrement ne sont pas pareilles. Il y a une grande différence. L’opus comportera 12 décibels et pour le titre, ce sera une surprise.
Certaines personnes vous reprochent de trop vous afficher…
Chez nous les Odiennéka, il y a un proverbe qui dit que si ton ami s’oppose à quelqu’un, c’est lui que tu soutiens. Mais si c’est contre toi-même qu’il se dresse, tu te soutiendras toi-même. Si j’ai choisi mon parti, c’est qu’il y a eu beaucoup d’eaux qui ont coulé avant.
Qu’est-ce à dire ?
J’avais des amis de l’autre côté. Ce sont les Ivoiriens qui ont fait de la politique une affaire de conflit. En principe, elle n’est pas source de conflit. Une mère et son fils, tout comme un homme et son épouse peuvent avoir des partis différents. Ça ne gêne en rien. La formation où on se sent le mieux, c’est là qu’on va.
Quels types de relation entretenez-vous aujourd’hui avec vos amis de l’autre côté ?
Le courant passe bien. Seule la maladie constitue, pour moi, notre plus grand ennemi. Quand on se dit qu’on a des hommes qui nous veulent du mal, on n’arrive plus à aller de l’avant.
Certains sont encore hors du pays, quel message leur lancez-vous ?
Qu’ils reviennent. La guerre est finie. Nous prions Dieu pour qu’ils nous retrouvent au plus tôt.
Quelles sont vos relations avec Kandé Kanté avec qui vous étiez proche ?
Tout va bien entre nous. Kandé va revenir. Qu’a-t-elle fait ? Elle ne se reproche rien. A un moment donné, tout le monde était sorti. Moi pareillement. Je crois que c’est par rapport à ses rendez-vous à l’extérieur qu’elle tarde encore. Sinon, elle sera là.
Certains artistes vous reprochent d’être gonflée…
On ne peut pas juger quelqu’un sans l’avoir approché. Je demande que ces personnes viennent vers moi pour savoir comment je suis. Toute vantardise mise à part, je sais que je suis très gentille.
Comment se porte votre couple avec le commandant du groupement tactique 9 des forces républicaines, Koné Gaoussou dit Jah Gao ?
Notre mariage est au beau fixe. Je l’aime bien et lui aussi m’apprécie. Et, la vie continue.
Le fait d’avoir choisi un ex-rebelle ne gêne-t-il pas vos fans ?
(Elle soupire longuement). C’est ce rebelle-là que je veux. C’est lui que j’ai choisi et cela n’a rien à voir avec ma carrière. C’est ma vie privée. Qu’il soit un ex-rebelle ou non, nous nous sommes vus, nous nous sommes aimés et nous avons choisi de vivre ensemble.
Entretien réalisé par Sanou A.