Amateur de football, Bédjé Bédjé Henry nourrit de grandes ambitions pour Issia Wazy dont il est le nouveau président délégué.
Nouveau président délégué, vous arrivez à la tête d’un club lacéré par les problèmes, tant au plan financier qu’en championnat. Quelle est votre stratégie pour sortir l’équipe de cette mauvaise passe ?
Notons qu’au niveau d’Issia, je compte mobiliser toute la population autour du club .Aussi bien les opérateurs économiques, les cadres que les paysans pour qu’ensemble, on puisse s’entendre et trouver des fonds pour financer le club. Parce que si on s’entend, le problème de financement ne va pas se poser. En un mot, ma stratégie consiste à fédérer tous les fils d’Issia car c’est dans l’union qu’on bâtit les grandes choses.
Depuis votre nomination, quelles actions concrètes avez- vous déjà menées, à l’effet de sortir Issia de l’ornière ?
Nous avons pris des contacts avec des opérateurs économiques, mais également avec des personnes qui avaient déserté le club pour diverses raisons. Nous leur avons demandé de revenir. Et, elles vont le faire. Je vous assure qu’avec la nouvelle gestion imprimée par la PCA (Ginette Ross) et l’arrivée de nouveaux dirigeants, les populations sont contentes et se sentent concernées par la vie de leur club.
Etes-vous un féru de football, ou bien votre arrivée à ce poste relève tout simplement d’ un concours de circonstance ?
J’aime le football comme tous les Ivoiriens. Je suis très souvent au stade. Aujourd’hui, une situation se présente, c’est-à-dire la mauvaise posture d’Issia Wazi. Nous sommes là, avant tout, pour sauver l’équipe. Mais, notre mission ne s’arrêtera pas là. Après le maintien, nous allons faire d’Issia une équipe enviable. A partir de la saison prochaine, si jamais nous nous maintenons, Issia va concurrencer les équipes d’Abidjan.
Pourquoi cet optimisme ?
Ce n’est pas extraordinaire. Il suffit tout simplement que toutes les forces vives d’Issia s’impliquent dans le développement du club. Il n’est plus question de politiser le club.
Propos recueillis par
MG
Nouveau président délégué, vous arrivez à la tête d’un club lacéré par les problèmes, tant au plan financier qu’en championnat. Quelle est votre stratégie pour sortir l’équipe de cette mauvaise passe ?
Notons qu’au niveau d’Issia, je compte mobiliser toute la population autour du club .Aussi bien les opérateurs économiques, les cadres que les paysans pour qu’ensemble, on puisse s’entendre et trouver des fonds pour financer le club. Parce que si on s’entend, le problème de financement ne va pas se poser. En un mot, ma stratégie consiste à fédérer tous les fils d’Issia car c’est dans l’union qu’on bâtit les grandes choses.
Depuis votre nomination, quelles actions concrètes avez- vous déjà menées, à l’effet de sortir Issia de l’ornière ?
Nous avons pris des contacts avec des opérateurs économiques, mais également avec des personnes qui avaient déserté le club pour diverses raisons. Nous leur avons demandé de revenir. Et, elles vont le faire. Je vous assure qu’avec la nouvelle gestion imprimée par la PCA (Ginette Ross) et l’arrivée de nouveaux dirigeants, les populations sont contentes et se sentent concernées par la vie de leur club.
Etes-vous un féru de football, ou bien votre arrivée à ce poste relève tout simplement d’ un concours de circonstance ?
J’aime le football comme tous les Ivoiriens. Je suis très souvent au stade. Aujourd’hui, une situation se présente, c’est-à-dire la mauvaise posture d’Issia Wazi. Nous sommes là, avant tout, pour sauver l’équipe. Mais, notre mission ne s’arrêtera pas là. Après le maintien, nous allons faire d’Issia une équipe enviable. A partir de la saison prochaine, si jamais nous nous maintenons, Issia va concurrencer les équipes d’Abidjan.
Pourquoi cet optimisme ?
Ce n’est pas extraordinaire. Il suffit tout simplement que toutes les forces vives d’Issia s’impliquent dans le développement du club. Il n’est plus question de politiser le club.
Propos recueillis par
MG
