La capitale de la paix s’active pour la première fête de l’indépendance de l’ère Ouattara.
La première fête de l’indépendance de l’ère Alassane Ouattara se prépare activement à Bouaké. Pour la réussite de l’An 51 dans la capitale de la paix, sept commissions présidées par le préfet de région, Aka Konin, ont été constituées. Il s’agit des commissions sensibilisation et mobilisation ; accueil et protocole ; animation et communication ; logistique et transport ; sécurité ; santé et rafraîchissement. Selon le préfet de région, trois types de défilés marqueront les festivités. A savoir la société civile, les associations professionnelles et des entreprises de la place. Au niveau des forces républicaines, dans le cadre des préparatifs des festivités, depuis deux semaines, des répétitions pour le défilé militaire vont bon train sur le boulevard du Palais du carnaval. Selon le commandant des troupes, Sansan Sib, 8 sections prendront part au défilé militaire. Elles seront composées de deux sections de bérets verts et de deux sections de bérets rouges ; d’une section de bérets bleus; de policiers et de gendarmes. Chaque section se compose de 25 soldats avec à sa tête un chef, indique le major Sansan Sib, commandant intérimaire du groupement tactique 3. Cette année, prévient le préfet de région, la fête de l’indépendance revêt un caractère particulier. « C’est la toute première fois que la fête de l’indépendance est célébrée sous l’ère du président Alassane Ouattara », relève-t-il. L’An 51 de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, situe Aka Konin, sera célébré à Bouaké en face du nouveau stade sur le grand boulevard et est placé sous le signe de la reconstruction et de la réconciliation nationale. Parce que, à en croire le représentant du chef de l’Etat à Bouaké, les évènements post-électoraux ont sérieusement détérioré le tissu social. « Que tout ce qui s’est passé soit pardonné. C’est dans ce sens qu’un accent particulier sera mis sur le pardon et la réconciliation dans le discours que nous allons livrer. Car, on ne peut pas se réconcilier sur la base des rancœurs. Aidons donc le président Alassane Ouattara dans le projet pour lequel nous l’avons élu afin que le pays retrouve la cohésion et qu’on procède à la reconstruction du pays»,plaide M. Konin.
Denis Koné à Bouaké
La première fête de l’indépendance de l’ère Alassane Ouattara se prépare activement à Bouaké. Pour la réussite de l’An 51 dans la capitale de la paix, sept commissions présidées par le préfet de région, Aka Konin, ont été constituées. Il s’agit des commissions sensibilisation et mobilisation ; accueil et protocole ; animation et communication ; logistique et transport ; sécurité ; santé et rafraîchissement. Selon le préfet de région, trois types de défilés marqueront les festivités. A savoir la société civile, les associations professionnelles et des entreprises de la place. Au niveau des forces républicaines, dans le cadre des préparatifs des festivités, depuis deux semaines, des répétitions pour le défilé militaire vont bon train sur le boulevard du Palais du carnaval. Selon le commandant des troupes, Sansan Sib, 8 sections prendront part au défilé militaire. Elles seront composées de deux sections de bérets verts et de deux sections de bérets rouges ; d’une section de bérets bleus; de policiers et de gendarmes. Chaque section se compose de 25 soldats avec à sa tête un chef, indique le major Sansan Sib, commandant intérimaire du groupement tactique 3. Cette année, prévient le préfet de région, la fête de l’indépendance revêt un caractère particulier. « C’est la toute première fois que la fête de l’indépendance est célébrée sous l’ère du président Alassane Ouattara », relève-t-il. L’An 51 de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, situe Aka Konin, sera célébré à Bouaké en face du nouveau stade sur le grand boulevard et est placé sous le signe de la reconstruction et de la réconciliation nationale. Parce que, à en croire le représentant du chef de l’Etat à Bouaké, les évènements post-électoraux ont sérieusement détérioré le tissu social. « Que tout ce qui s’est passé soit pardonné. C’est dans ce sens qu’un accent particulier sera mis sur le pardon et la réconciliation dans le discours que nous allons livrer. Car, on ne peut pas se réconcilier sur la base des rancœurs. Aidons donc le président Alassane Ouattara dans le projet pour lequel nous l’avons élu afin que le pays retrouve la cohésion et qu’on procède à la reconstruction du pays»,plaide M. Konin.
Denis Koné à Bouaké
