Le bus de la ligne 19 de la Sotra (Société des transports abidjanais) a fait des victimes, hier, vendredi 5 août 2011, à la sortie du pont Félix Houphouët Boigny, en provenance de Vridi-canal.
Qu’est-ce qui a bien pu arriver au bus 19 N°2726-3 immatriculé 7006EU01, de marque TATA (non articulé), conduit par Kouakou Assémien Joseph, matricule 12942, hier, vendredi 5 août 2011 ? Au point de se retrouver dans la lagune, aux environs de 7h00mn. Causant plus de quarante morts (bilan non officiel). Difficile de répondre avec exactitude à cette interrogation.
Cependant, l’atmosphère était lourde et intenable, les visages tristes. Les yeux hagards et imbibés de larmes restaient fixés sur les sauveteurs. Qui, chaque 10 mn environ, faisaient remonter des corps de l’eau.
Récit de la tragédie
Le bus de la ligne 19 de la Sotra, service 13 position 01 a quitté le terminus de Vridi-canal à 6h05mn, avec, à son bord, plus d’une cinquantaine de passagers. C’est une fois parvenu à une trentaine de mètres de la sortie du pont, selon certains témoignages, que le conducteur, Kouakou Assémien Joseph a tenté, en vain, d’éviter un véhicule de marque Toyota, immatriculé 7004FG01. Le véhicule et la conductrice seront pris dans la manœuvre avant que le mastodonte ne percute un poteau électrique, qu’il a cassé ainsi que les barrières de sécurité du pont pour se retrouver, 12 mètres plus bas, au fond de la lagune. La grue de plus de 200 tonnes du Groupe Bolloré Africa Logistique, arrivée sur les lieux pour faire sortir l’autobus a plongé ses câbles dans la lagune à 12h55mn. C’est à 13h41mn, que le bus est parvenu sur la rive, en épave. Avant d’être déposé sur le pont où était positionnée la grue, à 14h14mn. Ce drame a mobilisé les sapeurs-pompiers, les premiers responsables des Affaires maritimes, de la police, de la gendarmerie, de la Licorne, des Frci et de la Croix rouge.
Le gouvernement en majorité, sur les lieux
Le président Alassane Ouattara, le Premier ministre Guillaume Soro et plusieurs membres du gouvernement ce sont rendus sur les lieux pour constater l’étendue des dégâts. Il est à noter que le Président de la République, à quelques jours de la célébration de la fête nationale a décréter un deuil national de trois (3) jours, en la mémoire des disparus.
Qu’est-ce qui a bien pu arriver au bus 19 N°2726-3 immatriculé 7006EU01, de marque TATA (non articulé), conduit par Kouakou Assémien Joseph, matricule 12942, hier, vendredi 5 août 2011 ? Au point de se retrouver dans la lagune, aux environs de 7h00mn. Causant plus de quarante morts (bilan non officiel). Difficile de répondre avec exactitude à cette interrogation.
Cependant, l’atmosphère était lourde et intenable, les visages tristes. Les yeux hagards et imbibés de larmes restaient fixés sur les sauveteurs. Qui, chaque 10 mn environ, faisaient remonter des corps de l’eau.
Récit de la tragédie
Le bus de la ligne 19 de la Sotra, service 13 position 01 a quitté le terminus de Vridi-canal à 6h05mn, avec, à son bord, plus d’une cinquantaine de passagers. C’est une fois parvenu à une trentaine de mètres de la sortie du pont, selon certains témoignages, que le conducteur, Kouakou Assémien Joseph a tenté, en vain, d’éviter un véhicule de marque Toyota, immatriculé 7004FG01. Le véhicule et la conductrice seront pris dans la manœuvre avant que le mastodonte ne percute un poteau électrique, qu’il a cassé ainsi que les barrières de sécurité du pont pour se retrouver, 12 mètres plus bas, au fond de la lagune. La grue de plus de 200 tonnes du Groupe Bolloré Africa Logistique, arrivée sur les lieux pour faire sortir l’autobus a plongé ses câbles dans la lagune à 12h55mn. C’est à 13h41mn, que le bus est parvenu sur la rive, en épave. Avant d’être déposé sur le pont où était positionnée la grue, à 14h14mn. Ce drame a mobilisé les sapeurs-pompiers, les premiers responsables des Affaires maritimes, de la police, de la gendarmerie, de la Licorne, des Frci et de la Croix rouge.
Le gouvernement en majorité, sur les lieux
Le président Alassane Ouattara, le Premier ministre Guillaume Soro et plusieurs membres du gouvernement ce sont rendus sur les lieux pour constater l’étendue des dégâts. Il est à noter que le Président de la République, à quelques jours de la célébration de la fête nationale a décréter un deuil national de trois (3) jours, en la mémoire des disparus.