Présenté lors de la visite de la délégation gouvernementale aux parents des victimes à Vidri-village, Nassa Moctar, ce Burkinabé de 55 ans, vivant dans ce quartier relate ce qui apparait pour lui comme un miracle de Dieu. Récit.
Comment expliquez-vous l'accident du bus ?
Le matin, j'ai pris le bus 19 pour vaquer à mes occupations. Lorsque nous sommes arrivés sur le pont Houphouët-Boigny, un gros camion est sorti devant nous. Notre bus, qui a tenté de l'éviter, s'est retrouvé dans la lagune.
Comment avez-vous réussi à sortir de cette situation ?
Ça été un miracle de Dieu. Seul lui peut expliquer pourquoi je suis en vie. Quand le bus est tomé dans la lagune, je me suis retrouvé après en surface et j'ai aussitôt vu les sauveteurs qui m'ont secouru. Je rends gloire à Dieu. Je suis néanmoins triste pout toutes ces pertes humaines.
Que faites-vous comme travail ?
J'exerçais le métier de gardien. Mais depuis l'année passée, je suis à la retraite. Je suis Burkinabé, et je vis en Côte d'Ivoire depuis 1972.
Entretien réalisé par D.B
Comment expliquez-vous l'accident du bus ?
Le matin, j'ai pris le bus 19 pour vaquer à mes occupations. Lorsque nous sommes arrivés sur le pont Houphouët-Boigny, un gros camion est sorti devant nous. Notre bus, qui a tenté de l'éviter, s'est retrouvé dans la lagune.
Comment avez-vous réussi à sortir de cette situation ?
Ça été un miracle de Dieu. Seul lui peut expliquer pourquoi je suis en vie. Quand le bus est tomé dans la lagune, je me suis retrouvé après en surface et j'ai aussitôt vu les sauveteurs qui m'ont secouru. Je rends gloire à Dieu. Je suis néanmoins triste pout toutes ces pertes humaines.
Que faites-vous comme travail ?
J'exerçais le métier de gardien. Mais depuis l'année passée, je suis à la retraite. Je suis Burkinabé, et je vis en Côte d'Ivoire depuis 1972.
Entretien réalisé par D.B
