Le commissaire chargé des Affaires politiques, de la paix et de la sécurité de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le général Mahamane Touré a déclaré jeudi, à Abidjan que la sécurité à la frontière ivoiro-libérienne allait faire l’objet d’un mini-sommet des chefs d’état de la région, à Abuja, au Nigeria.
«Plusieurs recommandations issues de concertations sur la sécurisation de la frontière ivoiro-libérienne seront examinées à cet effet», a indiqué le général Touré, à l’issue de la rencontre que la délégation de la CEDEAO qu’il conduisait a eue avec le Représentant spécial-adjoint du Secrétaire général de l’ONU pour la Côte d’Ivoire, Arnaud Akodjenou, au siège de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Le général Touré qui effectue une mission en Côte d’Ivoire pour le compte de l’organisation régionale, a estimé que sa rencontre avec le numéro 2 de l’ONUCI lui a permis d’avoir des éléments d’information sur la sécurisation de la frontière qu’il compte porter à la connaissance du président de la commission de la CDEAO, James Victor Gbeho.
Selon le commissaire de la CEDEAO, au cours du mini-sommet de l’organisation régionale, M. Gbeho fera une présentation pour rassurer les chefs d’Etat par rapport aux dispositions prises conjointement par l’ONUCI et la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL).
La question de la sécurité à la frontière ivoiro-libérienne a fait l’objet de plusieurs rencontres récemment entre d’une part, les autorités ivoiriennes et les missions des Nations Unies en Côte d’Ivoire et au Liberia et d’autre part, entre les missions onusiennes elles-mêmes. Au cours de ces différentes concertations, le déploiement des casques bleus présents dans les deux pays voisins a été demandé.
Il faut noter que l’insécurité à la frontière ivoiro-libérienne qui est longue de 700 km, est le fait des hommes en armes, pour la plupart, d’anciens combattants dans le conflit ivoirien.
Source : ONUCI
«Plusieurs recommandations issues de concertations sur la sécurisation de la frontière ivoiro-libérienne seront examinées à cet effet», a indiqué le général Touré, à l’issue de la rencontre que la délégation de la CEDEAO qu’il conduisait a eue avec le Représentant spécial-adjoint du Secrétaire général de l’ONU pour la Côte d’Ivoire, Arnaud Akodjenou, au siège de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Le général Touré qui effectue une mission en Côte d’Ivoire pour le compte de l’organisation régionale, a estimé que sa rencontre avec le numéro 2 de l’ONUCI lui a permis d’avoir des éléments d’information sur la sécurisation de la frontière qu’il compte porter à la connaissance du président de la commission de la CDEAO, James Victor Gbeho.
Selon le commissaire de la CEDEAO, au cours du mini-sommet de l’organisation régionale, M. Gbeho fera une présentation pour rassurer les chefs d’Etat par rapport aux dispositions prises conjointement par l’ONUCI et la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL).
La question de la sécurité à la frontière ivoiro-libérienne a fait l’objet de plusieurs rencontres récemment entre d’une part, les autorités ivoiriennes et les missions des Nations Unies en Côte d’Ivoire et au Liberia et d’autre part, entre les missions onusiennes elles-mêmes. Au cours de ces différentes concertations, le déploiement des casques bleus présents dans les deux pays voisins a été demandé.
Il faut noter que l’insécurité à la frontière ivoiro-libérienne qui est longue de 700 km, est le fait des hommes en armes, pour la plupart, d’anciens combattants dans le conflit ivoirien.
Source : ONUCI