Je voudrais remercier son Sem le président de la République, Alassane Ouattara, qui a mis au cœur de son programme d'action, la sécurité des Ivoiriens, la sécurité des investissements. Vous savez, la sécurité et la justice sont deux facteurs importants. Dans les pays où il y a la sécurité, le développement suit. Les investisseurs viennent. Nous avions pour ambitions d'attirer les investisseurs. La justice et la sécurité doivent être le moteur de la sécurisation de tous les investissements. Aujourd'hui, la Maca est ouverte. Elle l'est pour le bonheur des Ivoiriens, pour le bonheur de tous ceux qui habitent le territoire de la Côte d'Ivoire. Elle a coûté 2 milliards. Mais que représente cette somme face à la sécurité des individus ? Elle va accueillir aujourd'hui 19 détenus.
La Maca, nouvelle formule, va-t-elle respecté les normes ?
Effectivement, cette Maca a été construite depuis 1980 pour recevoir 1500 personnes. Mais on était à 5300 personnes qui ont été formellement identifiées.
Et les dignitaires de l'ancien régime inculpés, quand rejoindront-ils la Maca ?
Il appartiendra aux juges d'apprécier. Seuls les juges déterminent les conditions de détention. La Maca, ici, n'était pas prête. Les tribunaux ont été saccagés un peu partout. Je profite pour signaler que Tiassalé, Agboville, Dimbokro, bref, toutes les prisons sur le territoire national ouvrent aujourd'hui. Pour dire que nous rentrons dans les normes sécuritaires. Je remercie et félicite le ministre Hamed Bakayoko parce que chaque jour, quand vous vous déplacez, on ne voit plus de barrages sauvages. La libre circulation, posée comme préalable par la constitution, se réalise à travers le gouvernement Ouattara.
Et le sort des évadés de la Maca ?
Je vous ai dit qu'ils sont bien identifiés. Nous avons des documents de base, photographiés et identifiés. On va étudier ces documents. Ils seront traqués. Je lance à leur endroit une invitation. Qu'ils viennent se rendre d'eux-mêmes.
Propos recueillis par D.B
La Maca, nouvelle formule, va-t-elle respecté les normes ?
Effectivement, cette Maca a été construite depuis 1980 pour recevoir 1500 personnes. Mais on était à 5300 personnes qui ont été formellement identifiées.
Et les dignitaires de l'ancien régime inculpés, quand rejoindront-ils la Maca ?
Il appartiendra aux juges d'apprécier. Seuls les juges déterminent les conditions de détention. La Maca, ici, n'était pas prête. Les tribunaux ont été saccagés un peu partout. Je profite pour signaler que Tiassalé, Agboville, Dimbokro, bref, toutes les prisons sur le territoire national ouvrent aujourd'hui. Pour dire que nous rentrons dans les normes sécuritaires. Je remercie et félicite le ministre Hamed Bakayoko parce que chaque jour, quand vous vous déplacez, on ne voit plus de barrages sauvages. La libre circulation, posée comme préalable par la constitution, se réalise à travers le gouvernement Ouattara.
Et le sort des évadés de la Maca ?
Je vous ai dit qu'ils sont bien identifiés. Nous avons des documents de base, photographiés et identifiés. On va étudier ces documents. Ils seront traqués. Je lance à leur endroit une invitation. Qu'ils viennent se rendre d'eux-mêmes.
Propos recueillis par D.B