A l'instar de leurs coreligionnaires des autres communes d'Abidjan et de l'intérieur du pays, les fidèles musulmans d'Anyama ont sacrifié à la tradition de la grande prière du Ramadan à l'EPP Plateau, en présence des autorités locales dont le sous-préfet, Mme Gnabrolobli Zihon Nicole.
L'imam Touré Moussa, représentant le Cosim d'Anyama, a indiqué à l'occasion que le
Ramadan 2011 revêt un sens particulier. « La particularité du Ramadan cette année, c'est
qu'elle coïncide avec le mois lunaire et grégaire. Cela montre que les fils et les filles de ce
pays doivent s'unir dans la concorde et la fraternité », a-t-il expliqué. L'Imam Touré a, par
ailleurs, indiqué que les musulmans doivent comprendre que pour s'inscrire dans le processus de réconciliation qui est en cours, ils doivent savoir pardonner. « Dieu est miséricorde avec ceux qui ont un bon cœur », a-t-il martelé. Saisissant la bonne disposition des musulmans au pardon, Mme Gnabrolobli a exhorté les fidèles à s'inscrire véritablement dans la réconciliation: « Chacun de nous doit être un ambassadeur de la paix partout où il se trouve. Car, la Côte d'Ivoire a besoin de se réconcilier pour se développer». Elle a, par ailleurs, exprimé sa reconnaissance à la communauté musulmane de sa circonscription qui a toujours, selon elle, associé les autorités et les autres confessions religieuses sœurs, à toutes ses cérémonies. Mme Gnabrolobli a souhaité que cette solidarité perdure pour une coexistence pacifique.
ALI
L'imam Touré Moussa, représentant le Cosim d'Anyama, a indiqué à l'occasion que le
Ramadan 2011 revêt un sens particulier. « La particularité du Ramadan cette année, c'est
qu'elle coïncide avec le mois lunaire et grégaire. Cela montre que les fils et les filles de ce
pays doivent s'unir dans la concorde et la fraternité », a-t-il expliqué. L'Imam Touré a, par
ailleurs, indiqué que les musulmans doivent comprendre que pour s'inscrire dans le processus de réconciliation qui est en cours, ils doivent savoir pardonner. « Dieu est miséricorde avec ceux qui ont un bon cœur », a-t-il martelé. Saisissant la bonne disposition des musulmans au pardon, Mme Gnabrolobli a exhorté les fidèles à s'inscrire véritablement dans la réconciliation: « Chacun de nous doit être un ambassadeur de la paix partout où il se trouve. Car, la Côte d'Ivoire a besoin de se réconcilier pour se développer». Elle a, par ailleurs, exprimé sa reconnaissance à la communauté musulmane de sa circonscription qui a toujours, selon elle, associé les autorités et les autres confessions religieuses sœurs, à toutes ses cérémonies. Mme Gnabrolobli a souhaité que cette solidarité perdure pour une coexistence pacifique.
ALI