Le téléphone portable peut-il être ignoré dans notre existence quotidienne ? Assurément non !
En effet, ce moyen de communication a bel et bien modifié nos habitudes et s’impose comme
un outil indispensable à notre existence. Toutefois, le phénomène du mobile comporte aussi
ses dangers et ses risques. Au nombre desquels, son utilisation au volant. Selon des récentes statistiques fournies par la police, les accidents de la circulation causés par l’utilisation du portable pendant la conduite, sont montés en pic ces dernières années. Ainsi donc, le portable est devenu un véritable danger pour les conducteur, les passagers et les usagers de la route. Les appels successifs de l’Oser (Office de la sécurité routière) visant à prévenir ce phénomène ou réduire le niveau de son taux ne produisent pas les résultats attendus.
Conduire ou téléphoner, tel est le choix qui s’impose. L’usage du portable au volant oblige,
on le sait bien, le conducteur à exécuter une série d’actes qui le distraient pendant quelques
secondes. En effet, dès que le téléphone sonne, le conducteur va d’abord lâcher d’une main,
la direction du véhicule, ensuite il va rechercher son téléphone, puis porter son attention sur
l’écran de l’appareil, le décrocher (s’il le désire) et enfin communiquer. Dans le cas où des
femmes au volant, les risques sont encore plus importants, puisque généralement, le combiné est dissimulé dans le fond de leur sac à main. « Nous devons à la fois farfouiller pendant plusieurs minutes dans notre sac à main et conduire en même temps. J’avoue que c’est beaucoup risqué », reconnaît Touré Djénébou, commerçante au grand marché de Treichville.
Pour Assi Olivier, conduire et téléphoner, ne peuvent pas faire bon ménage : « Les policiers
commis à réguler la circulation doivent sévir dès qu’ils remarquent un conducteur au
téléphone. Le danger pour les autres automobilistes et les piétons, est considérable. Il faut
l’arrêter immédiatement », clame-t-il. Au total, il urge que les autorités et notamment l’Oser
prennent leur responsabilité pour éviter que ce phénomène ne cause davantage de danger dans la société ivoirienne.
Fofana zoumana (stagiaire)
En effet, ce moyen de communication a bel et bien modifié nos habitudes et s’impose comme
un outil indispensable à notre existence. Toutefois, le phénomène du mobile comporte aussi
ses dangers et ses risques. Au nombre desquels, son utilisation au volant. Selon des récentes statistiques fournies par la police, les accidents de la circulation causés par l’utilisation du portable pendant la conduite, sont montés en pic ces dernières années. Ainsi donc, le portable est devenu un véritable danger pour les conducteur, les passagers et les usagers de la route. Les appels successifs de l’Oser (Office de la sécurité routière) visant à prévenir ce phénomène ou réduire le niveau de son taux ne produisent pas les résultats attendus.
Conduire ou téléphoner, tel est le choix qui s’impose. L’usage du portable au volant oblige,
on le sait bien, le conducteur à exécuter une série d’actes qui le distraient pendant quelques
secondes. En effet, dès que le téléphone sonne, le conducteur va d’abord lâcher d’une main,
la direction du véhicule, ensuite il va rechercher son téléphone, puis porter son attention sur
l’écran de l’appareil, le décrocher (s’il le désire) et enfin communiquer. Dans le cas où des
femmes au volant, les risques sont encore plus importants, puisque généralement, le combiné est dissimulé dans le fond de leur sac à main. « Nous devons à la fois farfouiller pendant plusieurs minutes dans notre sac à main et conduire en même temps. J’avoue que c’est beaucoup risqué », reconnaît Touré Djénébou, commerçante au grand marché de Treichville.
Pour Assi Olivier, conduire et téléphoner, ne peuvent pas faire bon ménage : « Les policiers
commis à réguler la circulation doivent sévir dès qu’ils remarquent un conducteur au
téléphone. Le danger pour les autres automobilistes et les piétons, est considérable. Il faut
l’arrêter immédiatement », clame-t-il. Au total, il urge que les autorités et notamment l’Oser
prennent leur responsabilité pour éviter que ce phénomène ne cause davantage de danger dans la société ivoirienne.
Fofana zoumana (stagiaire)