Le Conseil extraordinaire des ministres tenu lundi à Abidjan, a été informé des retards importants de paiement des frais d’écolage dus aux promoteurs d’établissements scolaires privés, annonçant en outre le paiement de sept milliards FCFA courant septembre.
Donnant lecture du communiqué final, le porte-parole du gouvernement, le ministre Bruno Koné a noté qu’à ce jour, les impayés à la paierie générale du Trésor et les passifs des frais d’écolage s’élèvent à 36 milliards de FCFA.
« Après avoir dégagé une enveloppe de quatre milliards de FCFA dans le courant du mois de mai, le ministre de l’Economie et des Finances s’est engagé à régler la somme de sept milliards de FCFA courant septembre et proposera un plan permettant l’apurement de la totalité des impayés avant la fin de l’année 2011 », a assuré le porte-parole du gouvernement.
M. Koné a souligné que le Président de la République, Alassane Ouattara a relevé l’importance des arriérés de frais d’écolage, ainsi que la lenteur dans la résorption de ces sommes et demandé qu’avant paiement, un audit des passifs correspondants soit effectué par l’Inspection d’Etat. « A l’issue de cet audit, seules les dettes jugées incontestables feront l’objet d’un paiement », a-t-il précisé.
(AIP)
cmas
Donnant lecture du communiqué final, le porte-parole du gouvernement, le ministre Bruno Koné a noté qu’à ce jour, les impayés à la paierie générale du Trésor et les passifs des frais d’écolage s’élèvent à 36 milliards de FCFA.
« Après avoir dégagé une enveloppe de quatre milliards de FCFA dans le courant du mois de mai, le ministre de l’Economie et des Finances s’est engagé à régler la somme de sept milliards de FCFA courant septembre et proposera un plan permettant l’apurement de la totalité des impayés avant la fin de l’année 2011 », a assuré le porte-parole du gouvernement.
M. Koné a souligné que le Président de la République, Alassane Ouattara a relevé l’importance des arriérés de frais d’écolage, ainsi que la lenteur dans la résorption de ces sommes et demandé qu’avant paiement, un audit des passifs correspondants soit effectué par l’Inspection d’Etat. « A l’issue de cet audit, seules les dettes jugées incontestables feront l’objet d’un paiement », a-t-il précisé.
(AIP)
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