Le secrétaire général de la préfecture d’Odienné, Chérif Brahima a présidé jeudi la cérémonie de lancement de la campagne de vulgarisation du nouveau cadre règlementaire des Comités de gestion des établissements scolaires de Côte d’Ivoire (COGES) dans la région du Denguélé.
Il s’agissait, selon les émissaires du coordonateur national des COGES, d’une séance d’imprégnation qui présente les grandes innovations dans la structuration et le fonctionnement des GOGES décidées par les assises des 14, 15 et 16 juillet à Yamoussoukro.
Ces innovations constituent la correction des insuffisances organisationnelles, structurelles et fonctionnelles relevées à Yamoussoukro. Elles concernent entre autres, l’imprécision du statut des COGES, le cumul de postes et surtout l’absence de sanction, a indiqué la délégation composée du chef du service juridique et le chargé de communication du Service national d’animation, de promotion et de suivi des COGES (SNAPS-COGES).
Désormais, les COGES sont dotés d’une personnalité juridique propre. Ce sont des personnes morales dotées d’organes, à savoir l’assemblée générale, le bureau exécutif, le commissariat aux comptes et des assemblées subsidiaires.
Le nouveau cadre règlementaire va permettre un meilleur fonctionnement des COGES, en précisant le mode de désignation des membres des organes, leurs rôles et responsabilités ainsi que les sanctions encourues en cas de manquement. Aussi, un guide de poursuite judiciaire est-t-il annexé au texte réglementaire.
Les autres innovations sont relatives aux ressources financières des COGES, à la création d’une instance de régulation pourvue notamment d’une commission disciplinaire dont les actions sont sans préjudice des poursuites judiciaires éventuelles.
(AIP)
gem/cmas
Il s’agissait, selon les émissaires du coordonateur national des COGES, d’une séance d’imprégnation qui présente les grandes innovations dans la structuration et le fonctionnement des GOGES décidées par les assises des 14, 15 et 16 juillet à Yamoussoukro.
Ces innovations constituent la correction des insuffisances organisationnelles, structurelles et fonctionnelles relevées à Yamoussoukro. Elles concernent entre autres, l’imprécision du statut des COGES, le cumul de postes et surtout l’absence de sanction, a indiqué la délégation composée du chef du service juridique et le chargé de communication du Service national d’animation, de promotion et de suivi des COGES (SNAPS-COGES).
Désormais, les COGES sont dotés d’une personnalité juridique propre. Ce sont des personnes morales dotées d’organes, à savoir l’assemblée générale, le bureau exécutif, le commissariat aux comptes et des assemblées subsidiaires.
Le nouveau cadre règlementaire va permettre un meilleur fonctionnement des COGES, en précisant le mode de désignation des membres des organes, leurs rôles et responsabilités ainsi que les sanctions encourues en cas de manquement. Aussi, un guide de poursuite judiciaire est-t-il annexé au texte réglementaire.
Les autres innovations sont relatives aux ressources financières des COGES, à la création d’une instance de régulation pourvue notamment d’une commission disciplinaire dont les actions sont sans préjudice des poursuites judiciaires éventuelles.
(AIP)
gem/cmas