Abidjan - Les prochaines élections législatives en Côte d`Ivoire sont prévues "au plus tard le 15 décembre 2001", un scrutin pour lequel, le parti de l`ex-président Laurent Gbagbo, a posé ses conditions pour une participation, a appris l`AFP samedi de sources concordantes.
"Le Premier ministre (Guillaume Soro, ndlr) a informé le conseil que les opérations de votes des prochaines élections législatives sont prévues au plus tard le 15 décembre 2011" selon un communiqué du conseil des ministres, tenu jeudi.
"Un chronogramme (calendrier) plus précis d`organisation de ces élections sera rendu public dans les prochains jours", précise le texte.
"Les techniciens de la Commission électorale indépendante (CEI) travaillent actuellement avec les experts de la primature (cabinet du Premier ministre) pour arrêter une date définitive" a expliqué à l`AFP, Nicolas Baba Coulibaly, responsable de la Communication à la CEI.
"La CEI va proposer une date au gouvernement qui l`entérinera ou pas à travers un décret présidentiel", a-t-il souligné.
De son côté, le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de M. Gbagbo a posé ses conditions pour participer à ses législatives, notamment la libération de l`ex-président ivoirien arrêté le 11 avril et de ses autres responsables détenus, ainsi que la recomposition de la CEI, jugée "déséquilibrée".
En juillet, la Banque mondiale avait insisté sur la nécessité de restaurer la sécurité et d`organiser des élections législatives en Côte d`Ivoire pour favoriser la reconstruction de la première économie d`Afrique de l`Ouest francophone, abîmée par la récente crise post-électorale.
La crise post-électorale de novembre 2010-avril 2011 a fait au moins 3.000 morts et durement éprouvé l`économie ivoirienne, en raison du refus de Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle.
"Le Premier ministre (Guillaume Soro, ndlr) a informé le conseil que les opérations de votes des prochaines élections législatives sont prévues au plus tard le 15 décembre 2011" selon un communiqué du conseil des ministres, tenu jeudi.
"Un chronogramme (calendrier) plus précis d`organisation de ces élections sera rendu public dans les prochains jours", précise le texte.
"Les techniciens de la Commission électorale indépendante (CEI) travaillent actuellement avec les experts de la primature (cabinet du Premier ministre) pour arrêter une date définitive" a expliqué à l`AFP, Nicolas Baba Coulibaly, responsable de la Communication à la CEI.
"La CEI va proposer une date au gouvernement qui l`entérinera ou pas à travers un décret présidentiel", a-t-il souligné.
De son côté, le Front populaire ivoirien (FPI), le parti de M. Gbagbo a posé ses conditions pour participer à ses législatives, notamment la libération de l`ex-président ivoirien arrêté le 11 avril et de ses autres responsables détenus, ainsi que la recomposition de la CEI, jugée "déséquilibrée".
En juillet, la Banque mondiale avait insisté sur la nécessité de restaurer la sécurité et d`organiser des élections législatives en Côte d`Ivoire pour favoriser la reconstruction de la première économie d`Afrique de l`Ouest francophone, abîmée par la récente crise post-électorale.
La crise post-électorale de novembre 2010-avril 2011 a fait au moins 3.000 morts et durement éprouvé l`économie ivoirienne, en raison du refus de Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle.