A monsieur le Directeur de publication du quotidien " Le Nouveau Réveil" Abidjan
Monsieur le Directeur de Publication,
Nous venons par la présente, donner notre version des faits, en réaction à des articles qui
paraissent dans votre quotidien et qui tendent à mettre en doute la crédibilité de notre cabinet.
Nous avons achevé notre mission d'assistance du Burida pour le recrutement de son Directeur général depuis le lundi 05 septembre 2011.
1. Il est évident que les candidats qui n'ont pas subi les tests écrits et l'entretien n'ont pas
rempli les conditions pour ces étapes, ayant été éliminés à l'étape de la présélection qui
consistait à l'analyse des dossiers et pièces requises en conformité avec les termes de
références de l'offre.
2. Prétextant d'un rendez-vous de réceptions du rapport, nous avons été invités ce lundi 05
septembre 2011 de 14 heures 30 minutes à 15 heures au restaurant du " Cercle des rails " au Plateau, (qui, il faut le signaler, n'est pas un endroit approprié pour de telles rencontres) par 2 administrateurs, dont l'un était le destinataire du rapport.
3. Après avoir pris connaissance de ce rapport, en contradiction avec la procédure, ces deux administrateurs ont fait des commentaires et nous ont fait remarquer à notre grande surprise
que le nom d'un des candidats ne figurait pas sur la liste des candidats proposés par nos soins pour le poste.
4. Injonction nous a été faite de remédier à cet état de fait en faisant passer leur candidat de la 28ème place (sur 36 candidats dans l'ordre de mérite) à la 3ème place au moins. Evidemment, en modifiant le rapport dans cet objectif. D'où leur refus de le réceptionner ce jour.
5. Suite à ces faits, et tenant à notre crédibilité, nous avons acheminé d'autorité le rapport
par voie d'huissier le lendemain mardi 06 septembre 2011 au siège du Burida à l'intention du
PCA, conformément au bon de commande qui fait du Burida le commanditaire de la mission.
6. L'huissier a été pris à partie ce jour, et empêché de déposer le rapport, par le même
administrateur du " Cercle des rails " (M. Souane Ahmed) toujours à la manœuvre, et une
partie du personnel du Burida, comme le mentionne ledit acte d'huissier.
7. Comment cet administrateur pouvait-il préjuger de l'issue de la sélection au point
d'empêcher bruyamment son dépôt s'il n'avait pas pris connaissance du rapport comme
mentionné au point 3 ?
8. En désespoir de cause, nous avons dû acheminer le rapport le mercredi 07 septembre
2011 au ministère de tutelle pour faire suivre à la bonne adresse, étant entendu qu'on nous
empêchait par tous les moyens de le déposer.
9. En conséquence, nous concluons que la rencontre pour la réception du rapport du 05
septembre 2011 était un prétexte pour en connaître d'avance ses conclusions, exercer des
pressions au profit d'un des candidats.
10. Les fuites dans la presse savamment organisées ne peuvent être imputables au cabinet,
mais au même administrateur qui nous l'avait promis en cas de non prise en compte de ses
injonctions partisanes.
11. Ces fuites avaient, à notre avis, pour but apparent de discréditer les conclusions du rapport qu'ils savaient d'avance au désavantage de leur candidat. Ces fuites sont en même temps, devenues un prétexte trop facile pour " imposer " leur candidat… finalement pour seulement cinq (5) jours.
12. En tout état de cause, en quoi les fuites organisées dans la presse enlèvent-elles le mérite aux candidats les plus méritants et pénalisent-elles les moins méritants ?
Toutes les pièces jointes pour justifier nos dires sont disponibles à notre siège social.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur de publication, nos salutations distinguées.
Le Directeur Général
F. Besson
Monsieur le Directeur de Publication,
Nous venons par la présente, donner notre version des faits, en réaction à des articles qui
paraissent dans votre quotidien et qui tendent à mettre en doute la crédibilité de notre cabinet.
Nous avons achevé notre mission d'assistance du Burida pour le recrutement de son Directeur général depuis le lundi 05 septembre 2011.
1. Il est évident que les candidats qui n'ont pas subi les tests écrits et l'entretien n'ont pas
rempli les conditions pour ces étapes, ayant été éliminés à l'étape de la présélection qui
consistait à l'analyse des dossiers et pièces requises en conformité avec les termes de
références de l'offre.
2. Prétextant d'un rendez-vous de réceptions du rapport, nous avons été invités ce lundi 05
septembre 2011 de 14 heures 30 minutes à 15 heures au restaurant du " Cercle des rails " au Plateau, (qui, il faut le signaler, n'est pas un endroit approprié pour de telles rencontres) par 2 administrateurs, dont l'un était le destinataire du rapport.
3. Après avoir pris connaissance de ce rapport, en contradiction avec la procédure, ces deux administrateurs ont fait des commentaires et nous ont fait remarquer à notre grande surprise
que le nom d'un des candidats ne figurait pas sur la liste des candidats proposés par nos soins pour le poste.
4. Injonction nous a été faite de remédier à cet état de fait en faisant passer leur candidat de la 28ème place (sur 36 candidats dans l'ordre de mérite) à la 3ème place au moins. Evidemment, en modifiant le rapport dans cet objectif. D'où leur refus de le réceptionner ce jour.
5. Suite à ces faits, et tenant à notre crédibilité, nous avons acheminé d'autorité le rapport
par voie d'huissier le lendemain mardi 06 septembre 2011 au siège du Burida à l'intention du
PCA, conformément au bon de commande qui fait du Burida le commanditaire de la mission.
6. L'huissier a été pris à partie ce jour, et empêché de déposer le rapport, par le même
administrateur du " Cercle des rails " (M. Souane Ahmed) toujours à la manœuvre, et une
partie du personnel du Burida, comme le mentionne ledit acte d'huissier.
7. Comment cet administrateur pouvait-il préjuger de l'issue de la sélection au point
d'empêcher bruyamment son dépôt s'il n'avait pas pris connaissance du rapport comme
mentionné au point 3 ?
8. En désespoir de cause, nous avons dû acheminer le rapport le mercredi 07 septembre
2011 au ministère de tutelle pour faire suivre à la bonne adresse, étant entendu qu'on nous
empêchait par tous les moyens de le déposer.
9. En conséquence, nous concluons que la rencontre pour la réception du rapport du 05
septembre 2011 était un prétexte pour en connaître d'avance ses conclusions, exercer des
pressions au profit d'un des candidats.
10. Les fuites dans la presse savamment organisées ne peuvent être imputables au cabinet,
mais au même administrateur qui nous l'avait promis en cas de non prise en compte de ses
injonctions partisanes.
11. Ces fuites avaient, à notre avis, pour but apparent de discréditer les conclusions du rapport qu'ils savaient d'avance au désavantage de leur candidat. Ces fuites sont en même temps, devenues un prétexte trop facile pour " imposer " leur candidat… finalement pour seulement cinq (5) jours.
12. En tout état de cause, en quoi les fuites organisées dans la presse enlèvent-elles le mérite aux candidats les plus méritants et pénalisent-elles les moins méritants ?
Toutes les pièces jointes pour justifier nos dires sont disponibles à notre siège social.
Veuillez agréer, Monsieur le Directeur de publication, nos salutations distinguées.
Le Directeur Général
F. Besson