Le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, CISSE Ibrahima, a fait une conférence de presse, le Mercredi 14 septembre 2011, à l’Ecole Normale Supérieure pour d’abord lancer le la session 2011 du Brevet de Technicien Supérieur qui démarre le 20 septembre 2011 et ensuite rassurer l’ensemble des acteurs de l’enseignement supérieur, les partenaires de son ministère et la population, quant à la fiabilité de ce diplôme, intervenant dans un contexte particulier.
« Seul le travail paie ; tout autre chemin ne serait que pure aventure périlleuse dans le contexte actuel » a conseillé le Ministre aux 32.000 candidats et leurs parents sur la nécessité pour eux de se concentrer sur les études. La note éliminatoire est de retour, le Ministre n’a pas manqué de le souligner « en étude de cas, les candidats devront avoir au dessus de 07. Autrement dit, ils ne seront pas compter parmi les admis, quelques soient les notes qu’ils auront dans les autres matières »
Vu les perturbations des cours dans les grandes écoles suite à la crise post électorale, pour le premier responsable de l’enseignement supérieur, il est apparu impérieux de prendre des dispositions d’urgence afin de sauver l’année académique 2010-2011. Ce plan d’urgence a permis le réaménagement rapide du calendrier initial des cours et la prise de nouvelles mesures concernant l’organisation du BTS 2011. Ainsi, s’agissant du nombre d’heures nécessaires à la validation d’une année académique normale, le Ministre affirme avoir réussi le pari d’avoir organisé « 44 h de cours par semaine. Ceux-ci se sont déroulés, du lundi au vendredi de 08 h à 12h et de 14 h à 18 h ; et le samedi, de 08h à 12h. L’année académique 2010-2011 a pu ainsi être sauvée » les étudiants de la première année, ainsi que ceux des années préparatoires ont bénéficié de ces enseignements, du mardi 17 mai au 17 septembre 2011. Quant à ceux de la deuxième année, l’année académique s’est tenue, du mardi 17 mai au 11 septembre 2011.
La reforme des programmes de formation à ce diplôme et l’adoption d’un manuel de procédure permettent au Ministre et au Directeur des Examens du BTS de donner une autre raison d’affirmer leur sérénité quant à la fiabilisation de ce diplôme. Des axes stratégiques ont été dégagés. Il s’agit, entre autre, de la définition d conditions rigoureuses de création et d’ouverture d’établissements pour mettre fin à la création anarchique d’établissements ; la réduction du nombre de filières de 52 à 33, puis de 33 à 27.
Le BTS a été institué en Côte d’Ivoire en 1974.
Le service communication et RP
« Seul le travail paie ; tout autre chemin ne serait que pure aventure périlleuse dans le contexte actuel » a conseillé le Ministre aux 32.000 candidats et leurs parents sur la nécessité pour eux de se concentrer sur les études. La note éliminatoire est de retour, le Ministre n’a pas manqué de le souligner « en étude de cas, les candidats devront avoir au dessus de 07. Autrement dit, ils ne seront pas compter parmi les admis, quelques soient les notes qu’ils auront dans les autres matières »
Vu les perturbations des cours dans les grandes écoles suite à la crise post électorale, pour le premier responsable de l’enseignement supérieur, il est apparu impérieux de prendre des dispositions d’urgence afin de sauver l’année académique 2010-2011. Ce plan d’urgence a permis le réaménagement rapide du calendrier initial des cours et la prise de nouvelles mesures concernant l’organisation du BTS 2011. Ainsi, s’agissant du nombre d’heures nécessaires à la validation d’une année académique normale, le Ministre affirme avoir réussi le pari d’avoir organisé « 44 h de cours par semaine. Ceux-ci se sont déroulés, du lundi au vendredi de 08 h à 12h et de 14 h à 18 h ; et le samedi, de 08h à 12h. L’année académique 2010-2011 a pu ainsi être sauvée » les étudiants de la première année, ainsi que ceux des années préparatoires ont bénéficié de ces enseignements, du mardi 17 mai au 17 septembre 2011. Quant à ceux de la deuxième année, l’année académique s’est tenue, du mardi 17 mai au 11 septembre 2011.
La reforme des programmes de formation à ce diplôme et l’adoption d’un manuel de procédure permettent au Ministre et au Directeur des Examens du BTS de donner une autre raison d’affirmer leur sérénité quant à la fiabilisation de ce diplôme. Des axes stratégiques ont été dégagés. Il s’agit, entre autre, de la définition d conditions rigoureuses de création et d’ouverture d’établissements pour mettre fin à la création anarchique d’établissements ; la réduction du nombre de filières de 52 à 33, puis de 33 à 27.
Le BTS a été institué en Côte d’Ivoire en 1974.
Le service communication et RP