Abidjan-Une vingtaine de personnes ont trouvé la mort dans une attaque de deux villages frontaliers du Libéria, dans la nuit de jeudi à vendredi.
Selon la presse nationale, des villageois de Nigré et Zriglo, à une trentaine de kilomètres de la frontière du Libéria, à la lisière du Parc national de Taï, ont été attaqués par des assaillants non identifiés qui seraient venus du Libéria, faisant près de 20 morts dont un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et de nombreux blessés.
Plusieurs habitations ont été également pillées par ce commando qui a surpris ces populations, pour la plupart des allochtones et des allogènes, dans leur sommeil, pour commettre l’acte ignoble.
Cette attaque transfrontalière intervient deux jours après la rencontre de la haute hiérarchie militaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) à Monrovia, au Libéria, pour évaluer la situation sécuritaire dans la sous-région.
L’objet de cette rencontre, a précisé le bureau d’information de presse des armées (BIPA), était de permettre aux experts des différentes armées concernées de prévenir tout risque de violence, pour des élections à venir paisibles tant au Libéria qu’en Côte d’Ivoire.
(AIP)
Selon la presse nationale, des villageois de Nigré et Zriglo, à une trentaine de kilomètres de la frontière du Libéria, à la lisière du Parc national de Taï, ont été attaqués par des assaillants non identifiés qui seraient venus du Libéria, faisant près de 20 morts dont un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et de nombreux blessés.
Plusieurs habitations ont été également pillées par ce commando qui a surpris ces populations, pour la plupart des allochtones et des allogènes, dans leur sommeil, pour commettre l’acte ignoble.
Cette attaque transfrontalière intervient deux jours après la rencontre de la haute hiérarchie militaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) à Monrovia, au Libéria, pour évaluer la situation sécuritaire dans la sous-région.
L’objet de cette rencontre, a précisé le bureau d’information de presse des armées (BIPA), était de permettre aux experts des différentes armées concernées de prévenir tout risque de violence, pour des élections à venir paisibles tant au Libéria qu’en Côte d’Ivoire.
(AIP)