Pendant que les Guinéens d’Abidjan réglaient des incompréhensions avec la police ivoirienne devant leur ambassade d’Abidjan-Plateau, leurs camarades de Conakry avaient maille à partir avec la police et la gendarmerie guinéennes. Selon un correspondant de Koaci.net
sur place, deux personnes sont décédées par balles tirées par les forces de l’ordre. On dénombre plusieurs blessés graves et des arrestations. Parmi les interpellés figure Etienne Soropogui, vice- président des NFD. Selon notre source, c’est sur l’axe qui traverse les quartiers chauds de Conakry à savoir Enco 5, Cosa, Bambeto et Handallaye dans la commune de Ratoma, qu’on a enregistré le gros lot de victimes. Une situation qui rappelle à la différence du bilan la répression du 28 septembre 2009 sous la transition militaire conduite par le capitaine Moussa Dadis Camara. L'administration était paralysée, les boutiques fermées et la circulation bloquée, a précisé le correspondant de koaci.net.
S. Débailly
sur place, deux personnes sont décédées par balles tirées par les forces de l’ordre. On dénombre plusieurs blessés graves et des arrestations. Parmi les interpellés figure Etienne Soropogui, vice- président des NFD. Selon notre source, c’est sur l’axe qui traverse les quartiers chauds de Conakry à savoir Enco 5, Cosa, Bambeto et Handallaye dans la commune de Ratoma, qu’on a enregistré le gros lot de victimes. Une situation qui rappelle à la différence du bilan la répression du 28 septembre 2009 sous la transition militaire conduite par le capitaine Moussa Dadis Camara. L'administration était paralysée, les boutiques fermées et la circulation bloquée, a précisé le correspondant de koaci.net.
S. Débailly