Tout doit être mis en œuvre par les forces républicaines afin que les législatives se déroulent dans un climat de paix, a souhaité Djédjé Mady, le président du directoire du Rhdp au terme d’une rencontre avec le patron intérimaire de l’Onuci.
« Il s’agit, aujourd’hui, de faire en sorte que la sécurité soit assurée au processus pour tous les électeurs. Bien sûr, s’il y a des miliciens qui ont des armes, il faut qu’ils rendent les armes. S’il y a des mercenaires, il faut qu’ils réintègrent leur pays. Et, que la Côte d’Ivoire n’ait plus besoin de ce genre de coup de main. Ceux-là doivent effectivement désarmer. Concernant les Frci, c’est l’armée de Côte d’Ivoire. Il ne s’agit pas de la désarmer. Mais de l’amener à faire en sorte que la paix soit pour tous les Ivoiriens sans distinction ». Ainsi s’est exprimé, hier, Alphonse Djédjé Mady au terme d’une réunion avec le représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Arnauld Akodjènou. Selon le président du directoire du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), ils ont « échangé sur l’actualité. Nous avons mis, ensemble, l’accent sur la nécessité d’un environnement politique apaisé ». Djédjé Mady a réaffirmé la volonté des houphouétistes d’aller en « coalition » aux législatives. « Nous nous préparons à aller en coalition à ces élections en souhaitant que tous les Ivoiriens et toutes les structures concernées puissent y participer », a-t-il soutenu. Le chef de la délégation du Rhdp a répondu au Front populaire ivoirien (Fpi) qui exige la recomposition de la Commission électorale indépendante (Cei). La Cei, a-t-il rappelé, est le fruit des négociations qui ont abouti à l’Accord de Pretoria II. « Cet accord prévoyait que les dix (10) signataires des Accords de Linas-Marcoussis aient chacun deux représentants, que le président de la République, le président de l’Assemblée Nationale et certaines institutions soient représentés au sein de la CEI », a-t-il instruit. Le secrétaire général du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) était accompagné du général Ouassenan Koné et du professeur Alassane Salif N’Diaye. Arnauld Akodjènou a également échangé avec la grande chancelière, Henriette Dagri Diabaté, au siège de l’institution ivoirienne.
Bamba K. Inza
« Il s’agit, aujourd’hui, de faire en sorte que la sécurité soit assurée au processus pour tous les électeurs. Bien sûr, s’il y a des miliciens qui ont des armes, il faut qu’ils rendent les armes. S’il y a des mercenaires, il faut qu’ils réintègrent leur pays. Et, que la Côte d’Ivoire n’ait plus besoin de ce genre de coup de main. Ceux-là doivent effectivement désarmer. Concernant les Frci, c’est l’armée de Côte d’Ivoire. Il ne s’agit pas de la désarmer. Mais de l’amener à faire en sorte que la paix soit pour tous les Ivoiriens sans distinction ». Ainsi s’est exprimé, hier, Alphonse Djédjé Mady au terme d’une réunion avec le représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Arnauld Akodjènou. Selon le président du directoire du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), ils ont « échangé sur l’actualité. Nous avons mis, ensemble, l’accent sur la nécessité d’un environnement politique apaisé ». Djédjé Mady a réaffirmé la volonté des houphouétistes d’aller en « coalition » aux législatives. « Nous nous préparons à aller en coalition à ces élections en souhaitant que tous les Ivoiriens et toutes les structures concernées puissent y participer », a-t-il soutenu. Le chef de la délégation du Rhdp a répondu au Front populaire ivoirien (Fpi) qui exige la recomposition de la Commission électorale indépendante (Cei). La Cei, a-t-il rappelé, est le fruit des négociations qui ont abouti à l’Accord de Pretoria II. « Cet accord prévoyait que les dix (10) signataires des Accords de Linas-Marcoussis aient chacun deux représentants, que le président de la République, le président de l’Assemblée Nationale et certaines institutions soient représentés au sein de la CEI », a-t-il instruit. Le secrétaire général du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) était accompagné du général Ouassenan Koné et du professeur Alassane Salif N’Diaye. Arnauld Akodjènou a également échangé avec la grande chancelière, Henriette Dagri Diabaté, au siège de l’institution ivoirienne.
Bamba K. Inza