«C’est aux autorités municipales de mettre de l’ordre. Ce sont les maires qui peuvent prendre des décisions. Il faut des arrêtés municipaux pour faire cesser tout ça. Il va falloir que le président de la République donne des instructions fermes aux maires par rapport à cela ».
Vitres teintées : ce qu’il faut savoir
En réalité, plus que l’utilisation des gyrophares, l’ordre devrait prévaloir très rapidement dans l’usage des vitres teintées de véhicules automobiles. Car, selon une source informée, les véhicules aux vitres teintées doivent posséder cette caractéristique à l’origine, c’est-à-dire au moment de leur construction. Autrement dit, les petits malins qui teignent les vitres de leur véhicule sont d’office hors-la-loi. Et, en l’espèce, le code français de la route qui inspire l’arsenal juridique routier ivoirien, est très précis. « Tout conducteur de véhicule doit se tenir constamment en état et en position d’exécuter commodément et sans délai toutes les manœuvres qui lui incombent. Notamment, ses possibilités de mouvement et son champ de vision ne doivent pas être réduits par l’apposition d’objets non-transparents sur les vitres. Toutes les vitres doivent être en substance transparente (…). Les vitres du pare-brise doivent en outre avoir une transparence suffisante, ne provoquer aucune déformation notable des objets vus par transparence ni aucune modification notable de leurs couleurs. Tout véhicule doit être tel que le champ de visibilité du conducteur, vers l’avant, vers la droite et vers la gauche, soit suffisant pour que celui-ci puisse conduire avec sûreté », prescrit le code routier français. Et, qu’il ait été teinté par le fabricant ou par le concessionnaire, le véhicule aux vitres teintées ne doit pas être acquis par n’importe qui. « Avant de vendre un véhicule aux vitres teintées, le concessionnaire a l’obligation de savoir l’usage que le client veut en faire », explique un haut-cadre de la Police ivoirienne, ajoutant que « généralement, les véhicules dont on autorise la teinture des vitres en Côte d’Ivoire, servent au cortège officiel de personnalités ».
M.D.
Vitres teintées : ce qu’il faut savoir
En réalité, plus que l’utilisation des gyrophares, l’ordre devrait prévaloir très rapidement dans l’usage des vitres teintées de véhicules automobiles. Car, selon une source informée, les véhicules aux vitres teintées doivent posséder cette caractéristique à l’origine, c’est-à-dire au moment de leur construction. Autrement dit, les petits malins qui teignent les vitres de leur véhicule sont d’office hors-la-loi. Et, en l’espèce, le code français de la route qui inspire l’arsenal juridique routier ivoirien, est très précis. « Tout conducteur de véhicule doit se tenir constamment en état et en position d’exécuter commodément et sans délai toutes les manœuvres qui lui incombent. Notamment, ses possibilités de mouvement et son champ de vision ne doivent pas être réduits par l’apposition d’objets non-transparents sur les vitres. Toutes les vitres doivent être en substance transparente (…). Les vitres du pare-brise doivent en outre avoir une transparence suffisante, ne provoquer aucune déformation notable des objets vus par transparence ni aucune modification notable de leurs couleurs. Tout véhicule doit être tel que le champ de visibilité du conducteur, vers l’avant, vers la droite et vers la gauche, soit suffisant pour que celui-ci puisse conduire avec sûreté », prescrit le code routier français. Et, qu’il ait été teinté par le fabricant ou par le concessionnaire, le véhicule aux vitres teintées ne doit pas être acquis par n’importe qui. « Avant de vendre un véhicule aux vitres teintées, le concessionnaire a l’obligation de savoir l’usage que le client veut en faire », explique un haut-cadre de la Police ivoirienne, ajoutant que « généralement, les véhicules dont on autorise la teinture des vitres en Côte d’Ivoire, servent au cortège officiel de personnalités ».
M.D.
