Le 24 Septembre 2011, en marge des assemblées annuelles de la Banque Mondiale et du FMI, le ministre de l’économie et des finances Charles Koffi Diby a participé à une table ronde organisée spécialement en faveur de la Côte d’Ivoire. Plusieurs personnalités y ont également pris part afin de défendre le dossier « Côte d’Ivoire » devant un parterre de bailleurs de fonds. Sur la liste des participants figurait, monsieur Moussa Dosso, ministre ivoirien de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, Doris Ross, chef de mission pour la
Côte d’Ivoire au Fonds monétaire international, et Nanette Ahmed, chef d’équipe au Département des opérations de maintien de la paix de l’ONU. L’on notait aussi la présence de représentants de l’Union africaine, de la Banque ouest-africaine de développement, de la Banque islamique de développement, de la France, du Royaume-Uni, des
États-Unis et de l’Arabie saoudite. Charles Diby sollicite 12 000 milliards de FCFA
A cette occasion, le ministre Charles Diby a dressé toute une plaidoirie qui s’articulait autour de trois points majeurs. Il a dans un premier temps fait un rappel succinct des évolutions de la crise post-électorale. Il a par la suite dressé les perspectives économiques pour un futur proche, puis a terminé son propos liminaire en mettant un accent particulier sur les attentes du gouvernement à l’égard de la communauté financière internationale.
En ce qui concerne ce dernier volet, l’argentier ivoirien a fait savoir à son auditoire que le rattrapage du retard en matière d’infrastructures en Côte d’Ivoire, nécessite un investissement de 2,4 milliards de dollars par an pendant 10 ans, soit environ 1 200 milliards FCFA. Pour ces deux mandats présidentiels, le président Alassane Ouattara aura donc besoin d’au moins 12 000 milliards de FCFA pour son programme d’investissements. La délégation ivoirienne a poursuivi son argumentaire en sollicitant l’appui de la Banque
Mondiale et de la Banque Africaine de Développement, ainsi que celui des autres partenaires, à l’effet de poursuivre leur soutien à l’Etat sous forme d’appuis budgétaires et d’appuis sectoriels directs aux projets de développement. La mise en place des programmes spécifiques orientés vers le secteur privé en Côte d’Ivoire et l’ouverture de leurs guichets privés à la Côte d’Ivoire ont été aussi évoquées...
LIRE LA SUITE DANS LA TRIBUNE DE L'ECONOMIE DU LUNDI 03 OCTOBRE 2011
Côte d’Ivoire au Fonds monétaire international, et Nanette Ahmed, chef d’équipe au Département des opérations de maintien de la paix de l’ONU. L’on notait aussi la présence de représentants de l’Union africaine, de la Banque ouest-africaine de développement, de la Banque islamique de développement, de la France, du Royaume-Uni, des
États-Unis et de l’Arabie saoudite. Charles Diby sollicite 12 000 milliards de FCFA
A cette occasion, le ministre Charles Diby a dressé toute une plaidoirie qui s’articulait autour de trois points majeurs. Il a dans un premier temps fait un rappel succinct des évolutions de la crise post-électorale. Il a par la suite dressé les perspectives économiques pour un futur proche, puis a terminé son propos liminaire en mettant un accent particulier sur les attentes du gouvernement à l’égard de la communauté financière internationale.
En ce qui concerne ce dernier volet, l’argentier ivoirien a fait savoir à son auditoire que le rattrapage du retard en matière d’infrastructures en Côte d’Ivoire, nécessite un investissement de 2,4 milliards de dollars par an pendant 10 ans, soit environ 1 200 milliards FCFA. Pour ces deux mandats présidentiels, le président Alassane Ouattara aura donc besoin d’au moins 12 000 milliards de FCFA pour son programme d’investissements. La délégation ivoirienne a poursuivi son argumentaire en sollicitant l’appui de la Banque
Mondiale et de la Banque Africaine de Développement, ainsi que celui des autres partenaires, à l’effet de poursuivre leur soutien à l’Etat sous forme d’appuis budgétaires et d’appuis sectoriels directs aux projets de développement. La mise en place des programmes spécifiques orientés vers le secteur privé en Côte d’Ivoire et l’ouverture de leurs guichets privés à la Côte d’Ivoire ont été aussi évoquées...
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