L’Afrique veut privilégier la croissance verte pour son développement, à travers la 6ème Conférence économique africaine annuelle qui se tiendra à Addis-Abeba, en Ethiopie, du 25 au 28 octobre prochain.
Organisée conjointement par la Banque africaine de développement (BAD), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), cette Conférence examinera les perspectives qui s’offrent à la région pour faire avancer le développement durable en stimulant la productivité de l’économie et le développement humain sur le long terme, notamment par la croissance verte, selon un document conjoint de ces institutions internationales dont une copie est parvenue, mardi à l’AIP.
"La croissance verte contribuera à développer les secteurs de l’économie qui créent des emplois et offrent des chances pour tous les citoyens, y compris les plus vulnérables. En même temps, l’investissement dans ces secteurs contribuera à créer des économies plus solides sur le long terme", explique le document.
Les économies africaines, souligne-t-on, ont connu une croissance rapide au cours de la dernière décennie, mais elles restent vulnérables aux chocs, notamment le changement climatique, la dégradation de l’environnement, la croissance démographique et la crise économique mondiale.
"De plus, la croissance économique ne s’est pas traduite par des taux suffisants de réduction de la pauvreté ou de création d’emplois", déplorent les initiateurs de la prochaine Conférence économique africaine, qui examinera la possibilité d’investir dans la saine gestion des ressources naturelles, l’énergie renouvelable, les industries propres et l’agriculture durable.
Les travaux de la Conférence économique africaine alimenteront, par ailleurs, la 17ème Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique, prévue à Durban, en Afrique du Sud, du 28 novembre au 9 décembre.
Ils aideront également le continent à se préparer pour la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) qui se tiendra à Rio de Janeiro, au Brésil, du 4 au 6 juin 2012, annonce-t-on.
(AIP)
kp
Organisée conjointement par la Banque africaine de développement (BAD), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), cette Conférence examinera les perspectives qui s’offrent à la région pour faire avancer le développement durable en stimulant la productivité de l’économie et le développement humain sur le long terme, notamment par la croissance verte, selon un document conjoint de ces institutions internationales dont une copie est parvenue, mardi à l’AIP.
"La croissance verte contribuera à développer les secteurs de l’économie qui créent des emplois et offrent des chances pour tous les citoyens, y compris les plus vulnérables. En même temps, l’investissement dans ces secteurs contribuera à créer des économies plus solides sur le long terme", explique le document.
Les économies africaines, souligne-t-on, ont connu une croissance rapide au cours de la dernière décennie, mais elles restent vulnérables aux chocs, notamment le changement climatique, la dégradation de l’environnement, la croissance démographique et la crise économique mondiale.
"De plus, la croissance économique ne s’est pas traduite par des taux suffisants de réduction de la pauvreté ou de création d’emplois", déplorent les initiateurs de la prochaine Conférence économique africaine, qui examinera la possibilité d’investir dans la saine gestion des ressources naturelles, l’énergie renouvelable, les industries propres et l’agriculture durable.
Les travaux de la Conférence économique africaine alimenteront, par ailleurs, la 17ème Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique, prévue à Durban, en Afrique du Sud, du 28 novembre au 9 décembre.
Ils aideront également le continent à se préparer pour la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) qui se tiendra à Rio de Janeiro, au Brésil, du 4 au 6 juin 2012, annonce-t-on.
(AIP)
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