Dans un communiqué publié mercredi dans la presse, le FPI "se félicite de la décision de la Chambre préliminaire III de la CPI prise le 30 septembre dernier".
Par cette décision, le procureur pénal, Luis Moreno Ocampo, est autorisé à ouvrir une enquête "sur les crimes présumés relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis en Côte d'Ivoire depuis le 28 novembre 2010", date de la tenue de l'élection présidentielle.
"Cette décision, qui n'est pas encore un acte d'accusation contre une ou plusieurs personnes déterminées, emporte notre adhésion", écrit le FPI dans le texte signé par le secrétaire général et porte-parole du parti, Laurent Akoun.
Pour le FPI, l'enquête prend en compte les "crimes contre l'humanité" perpétrés lors de la crise post-électorale par "toutes les forces en présence", notamment les Forces armées alliées à Alassane Ouattara, les Forces impartiales françaises et onusiennes et les Forces pro-Gbagbo.
Le FPI estime également que l'enquête est étendue "sur la période allant de 2002 à 2010".
"Ces dispositions sont de nature à faire la lumière sur tous les faits pouvant être qualifiés de crimes contre l'humanité qui auraient été commis en Côte d'Ivoire depuis l'échec du coup d'Etat perpétré contre le régime du président Laurent Gbagbo, dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002 à ce jour", écrit le FPI.
"Elles augurent d'un procès équitable, juste et impartial", selon le FPI.
Le FPI "se tient d'ores et déjà disposé à contribuer au bon déroulement des enquêtes en vue de la manifestation de la vérité".
"Il demande également aux Ivoiriens en général et à ses militants en particulier de se tenir prêts et mobilisés pour mettre à la disposition des enquêteurs de la CPI tous les éléments de preuve susceptibles d'aider à faire la lumière sur les faits incriminés", conclut le communiqué. Fin
Par cette décision, le procureur pénal, Luis Moreno Ocampo, est autorisé à ouvrir une enquête "sur les crimes présumés relevant de la compétence de la Cour qui auraient été commis en Côte d'Ivoire depuis le 28 novembre 2010", date de la tenue de l'élection présidentielle.
"Cette décision, qui n'est pas encore un acte d'accusation contre une ou plusieurs personnes déterminées, emporte notre adhésion", écrit le FPI dans le texte signé par le secrétaire général et porte-parole du parti, Laurent Akoun.
Pour le FPI, l'enquête prend en compte les "crimes contre l'humanité" perpétrés lors de la crise post-électorale par "toutes les forces en présence", notamment les Forces armées alliées à Alassane Ouattara, les Forces impartiales françaises et onusiennes et les Forces pro-Gbagbo.
Le FPI estime également que l'enquête est étendue "sur la période allant de 2002 à 2010".
"Ces dispositions sont de nature à faire la lumière sur tous les faits pouvant être qualifiés de crimes contre l'humanité qui auraient été commis en Côte d'Ivoire depuis l'échec du coup d'Etat perpétré contre le régime du président Laurent Gbagbo, dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002 à ce jour", écrit le FPI.
"Elles augurent d'un procès équitable, juste et impartial", selon le FPI.
Le FPI "se tient d'ores et déjà disposé à contribuer au bon déroulement des enquêtes en vue de la manifestation de la vérité".
"Il demande également aux Ivoiriens en général et à ses militants en particulier de se tenir prêts et mobilisés pour mettre à la disposition des enquêteurs de la CPI tous les éléments de preuve susceptibles d'aider à faire la lumière sur les faits incriminés", conclut le communiqué. Fin