La Commission électorale indépendante (CEI) a envoyé depuis le 1er octobre des missions de formation et de sensibilisation des commissaires locaux, dans l’optique des élections législatives 2011 fixées en décembre prochain.
Conformément à l’application de la loi de 2004, portant suppléance des députés à l’Assemblée nationale, le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, a dépêché, sur toute l’étendue du territoire national, des missions pour échanger avec les représentants locaux de l’institution sur les dispositions du code électoral, les comportements à adopter ou à proscrire dans les bureaux de vote, les récentes décisions du gouvernement de porter le nombre de députés à 255.
Ces missions, selon le service communication de l’institution, auront également pour objet de "réactiver le contact avec la chefferie traditionnelle, les guides religieux, les organisations de la société civile ainsi que tous ceux qui peuvent appuyer la CEI dans la conduite d’un processus qui répondra aux normes internationales en matière de démocratie".
Pendant une semaine, elles échangeront avec les commissaires locaux sur des thèmes tels que l’organisation et le fonctionnement de la CEI, l’organisation pratique des élections législatives, précise le document du service communication de la CEI parvenu jeudi à l’AIP.
Depuis quelques jours, les responsables de l’institution multiplient des séances de travail et audiences avec les partenaires techniques et les diplomates qui soutiennent la CEI dans sa mission.
A ce titre, une délégation conduite par son vice président, Koné Sourou, a rencontré, mercredi, le chef par intérim de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), afin d’évoquer des questions logistiques, techniques et financières pour les élections législative prévues pour le 11 décembre.
Selon M. Koné Sourou, la commission électorale attend six milliards de FCFA des partenaires de la Côte d’Ivoire.
Le coût total de l’organisation de ces élections, rappelle-t-on, est de 13 milliards de FCFA.
(AIP)
kp
Conformément à l’application de la loi de 2004, portant suppléance des députés à l’Assemblée nationale, le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, a dépêché, sur toute l’étendue du territoire national, des missions pour échanger avec les représentants locaux de l’institution sur les dispositions du code électoral, les comportements à adopter ou à proscrire dans les bureaux de vote, les récentes décisions du gouvernement de porter le nombre de députés à 255.
Ces missions, selon le service communication de l’institution, auront également pour objet de "réactiver le contact avec la chefferie traditionnelle, les guides religieux, les organisations de la société civile ainsi que tous ceux qui peuvent appuyer la CEI dans la conduite d’un processus qui répondra aux normes internationales en matière de démocratie".
Pendant une semaine, elles échangeront avec les commissaires locaux sur des thèmes tels que l’organisation et le fonctionnement de la CEI, l’organisation pratique des élections législatives, précise le document du service communication de la CEI parvenu jeudi à l’AIP.
Depuis quelques jours, les responsables de l’institution multiplient des séances de travail et audiences avec les partenaires techniques et les diplomates qui soutiennent la CEI dans sa mission.
A ce titre, une délégation conduite par son vice président, Koné Sourou, a rencontré, mercredi, le chef par intérim de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), afin d’évoquer des questions logistiques, techniques et financières pour les élections législative prévues pour le 11 décembre.
Selon M. Koné Sourou, la commission électorale attend six milliards de FCFA des partenaires de la Côte d’Ivoire.
Le coût total de l’organisation de ces élections, rappelle-t-on, est de 13 milliards de FCFA.
(AIP)
kp
