Dakar – L’introduction en bourse de Money Express permettra à l’entreprise d’accéder, dans sa politique de développement, à des outils de financements moins coûteux, a indiqué, lundi à Dakar, Samuel Maréchal, président-directeur général de M&A Finance.
Pour M. Maréchal, dont le cabinet a accompagné Money Express dans sa cotation à la bourse de Paris, ‘’les entrepreneurs africains n’utilisent pas les mêmes outils que les entrepreneurs occidentaux’’.
Les entreprises africaines ne devraient plus se contenter exclusivement des banques alors que les marchés offrent ‘’des possibilités de financement plus accessibles et moins couteuses’’, a-t-il dit lors d’un cocktail d’information organisée par le groupe Money Express.
La crise financière en Europe a réduit les marges des entreprises occidentales. Les sociétés africaines, qui ont des marges de 25 à 30% deviennent donc de plus en plus attractives pour les fonds d’investissements, selon lui.
Les fonds d’investissements ne peuvent investir dans une entreprise que lorsqu’elle est cotée en bourse, selon Samuel Maréchal justifiant ainsi l’introduction de Money Express en bourse.
La société Money Express, premier opérateur panafricain du transfert d’argent, est, depuis jeudi, la première société à capitaux 100% sénégalais cotée à la bourse de Paris.
Parallèlement à cette cotation, une augmentation de capital d’un montant de 2,8 millions d’euros dotera l’entreprise des moyens nécessaires à son ambition raisonnée.
La société de transfert Money Express, fondée par Meissa Ngom, fêtera l’année prochaine ses 10 ans. Elle est active dans 50 pays dont 24 en Afrique.
L’augmentation de capital s’effectuera par une cession de 27 % des parts de l’entreprise, a expliqué Meissa Ngom, PDG du groupe Chaka dont Money Express est une filiale.
L’introduction à la bourse de Paris ne constitue toutefois qu’un ‘’pallier’’ de la politique de développement ambitieuse de l’entreprise, a dit Ababacar Seck, directeur général de Money Express.
Pour M. Maréchal, dont le cabinet a accompagné Money Express dans sa cotation à la bourse de Paris, ‘’les entrepreneurs africains n’utilisent pas les mêmes outils que les entrepreneurs occidentaux’’.
Les entreprises africaines ne devraient plus se contenter exclusivement des banques alors que les marchés offrent ‘’des possibilités de financement plus accessibles et moins couteuses’’, a-t-il dit lors d’un cocktail d’information organisée par le groupe Money Express.
La crise financière en Europe a réduit les marges des entreprises occidentales. Les sociétés africaines, qui ont des marges de 25 à 30% deviennent donc de plus en plus attractives pour les fonds d’investissements, selon lui.
Les fonds d’investissements ne peuvent investir dans une entreprise que lorsqu’elle est cotée en bourse, selon Samuel Maréchal justifiant ainsi l’introduction de Money Express en bourse.
La société Money Express, premier opérateur panafricain du transfert d’argent, est, depuis jeudi, la première société à capitaux 100% sénégalais cotée à la bourse de Paris.
Parallèlement à cette cotation, une augmentation de capital d’un montant de 2,8 millions d’euros dotera l’entreprise des moyens nécessaires à son ambition raisonnée.
La société de transfert Money Express, fondée par Meissa Ngom, fêtera l’année prochaine ses 10 ans. Elle est active dans 50 pays dont 24 en Afrique.
L’augmentation de capital s’effectuera par une cession de 27 % des parts de l’entreprise, a expliqué Meissa Ngom, PDG du groupe Chaka dont Money Express est une filiale.
L’introduction à la bourse de Paris ne constitue toutefois qu’un ‘’pallier’’ de la politique de développement ambitieuse de l’entreprise, a dit Ababacar Seck, directeur général de Money Express.