Recevant la presse nationale dans les locaux de son ministère sis au 26è étage du CCIA (Plateau), le ministre du Commerce, Dagobert Banzio, a tenu à éclairer l’opinion sur les activités que mène son département.
Dagobert Banzio a souligné que tous les obstacles érigés au niveau de la filière bétail sont levés. «Nous avons purgé les coûts des faux frais» a-t-il fait savoir. Pour lui, il n’y a plus de raison pour que la viande soit toujours chère sur le marché. «En collaboration avec le ministère des Ressources animales et halieutiques (…) il y a des mesures qui sont mises en œuvre et une structure de prix (…) On pourrait connaître une baisse de 200 à 300 FCFA », a révélé le ministre Dagobert Banzio. Il est revenu sur la collecte d’informations à travers le district d’Abidjan. Indiquant que les 10 points de contrôle hebdomadaire se font de manière représentative à travers les communes. Il a rappelé que pour éviter d’avoir des contrôles biaisés, les agents du ministère chargés du contrôle sont « en situation réelle de consommation (…) Ils [les agents] ont 20.000FCFA pour effectuer des achats ». Dagobert Banzio a en outre fustigé la fraude généralisée «amplifiée depuis la crise» alors que «la fraude est nuisible». Mais pour le ministre, des actions sont menées et même s’il n’y a pas de communication autour, des saisies sont faites et les choses ont changé. Le ministre est revenu sur le projet de code de la consommation qui est en élaboration pour la protection des consommateurs. Selon lui, son rôle est de «sécuriser le marché ivoirien et de veiller à la qualité de tout ce qui est consommé en Côte d’Ivoire» notamment le riz, le poisson, la tomate en conserve, l’huile, le lait, la viande, le sucre, le pain, la farine, le gaz, le vivrier et les matériaux de construction.
Franck O.
Dagobert Banzio a souligné que tous les obstacles érigés au niveau de la filière bétail sont levés. «Nous avons purgé les coûts des faux frais» a-t-il fait savoir. Pour lui, il n’y a plus de raison pour que la viande soit toujours chère sur le marché. «En collaboration avec le ministère des Ressources animales et halieutiques (…) il y a des mesures qui sont mises en œuvre et une structure de prix (…) On pourrait connaître une baisse de 200 à 300 FCFA », a révélé le ministre Dagobert Banzio. Il est revenu sur la collecte d’informations à travers le district d’Abidjan. Indiquant que les 10 points de contrôle hebdomadaire se font de manière représentative à travers les communes. Il a rappelé que pour éviter d’avoir des contrôles biaisés, les agents du ministère chargés du contrôle sont « en situation réelle de consommation (…) Ils [les agents] ont 20.000FCFA pour effectuer des achats ». Dagobert Banzio a en outre fustigé la fraude généralisée «amplifiée depuis la crise» alors que «la fraude est nuisible». Mais pour le ministre, des actions sont menées et même s’il n’y a pas de communication autour, des saisies sont faites et les choses ont changé. Le ministre est revenu sur le projet de code de la consommation qui est en élaboration pour la protection des consommateurs. Selon lui, son rôle est de «sécuriser le marché ivoirien et de veiller à la qualité de tout ce qui est consommé en Côte d’Ivoire» notamment le riz, le poisson, la tomate en conserve, l’huile, le lait, la viande, le sucre, le pain, la farine, le gaz, le vivrier et les matériaux de construction.
Franck O.