Le président de l’Alliance pour le changement (APC), Alphonse Soro, est désormais engagé dans la course pour l’Assemblée nationale. Le dimanche 9 octobre 2011 à Adjamé, le conseiller spécial du Premier ministre, Guillaume Soro, a officialisé sa candidature à l’élection législative à Karakoro dans le département de Korhogo.
C’est dans une salle des mariages archicomble de ressortissants de Karakoro venus réclamer sa candidature, qu’Alphonse Soro s’est résolu à briguer un poste à la députation lors des élections législatives de décembre prochain. «Acceptez de nous représenter à l’Assemblée nationale», lui ont demandé les représentants des cadres, sages, jeunes et femmes de Karakoro. Prenant la parole, Alphonse Soro, qui se présentera certainement sous la bannière du RDR (Rassemblement des républicains), a répondu favorablement aux sollicitations de ses parents. « Si je refuse d’être candidat de Karakoro, c’est que je refuse de vous aider. Je m’engage dans la compétition pour être député de Karakoro », a-t-il déclaré. Expliquant aux populations, les enjeux des élections législatives à venir, le président de l’APC a indiqué que celles-ci ont un caractère particulier dans la mesure où il s’agit de consolider le pouvoir du président Alassane Ouattara. « Nous avons battu Laurent Gbagbo dans les urnes le 28 novembre 2010 et nous devons confirmer ce résultat pour qu’Alassane Ouattara ait la majorité à l’Assemblée nationale », a-t-il rappelé. Pour ce qui le concerne, Alphonse Soro espère que sa candidature unira tous les fils et filles de Karakoro à qui il entend faire bénéficier d’ailleurs du programme de gouvernement du chef de l’Etat. « Ma candidature doit rassembler tout le monde et faire en sorte que Karakoro cesse d’être orphelin. Si je suis député, je mettrai fin au bavardage à Karakoro pour faire place au travail », a-t-il promis. S’il est élu, Alphonse Soro entend incarner une nouvelle génération de députés qui, en plus du vote des lois, informeront régulièrement leurs populations sur la vie de la nation. «Fini les députés qui vont dormir à l’Assemblée et dont le rôle se limite uniquement aux funérailles. Il faut révolutionner le titre de député en lui donnant tout son sens», a-t-il conclu.
David Yala
C’est dans une salle des mariages archicomble de ressortissants de Karakoro venus réclamer sa candidature, qu’Alphonse Soro s’est résolu à briguer un poste à la députation lors des élections législatives de décembre prochain. «Acceptez de nous représenter à l’Assemblée nationale», lui ont demandé les représentants des cadres, sages, jeunes et femmes de Karakoro. Prenant la parole, Alphonse Soro, qui se présentera certainement sous la bannière du RDR (Rassemblement des républicains), a répondu favorablement aux sollicitations de ses parents. « Si je refuse d’être candidat de Karakoro, c’est que je refuse de vous aider. Je m’engage dans la compétition pour être député de Karakoro », a-t-il déclaré. Expliquant aux populations, les enjeux des élections législatives à venir, le président de l’APC a indiqué que celles-ci ont un caractère particulier dans la mesure où il s’agit de consolider le pouvoir du président Alassane Ouattara. « Nous avons battu Laurent Gbagbo dans les urnes le 28 novembre 2010 et nous devons confirmer ce résultat pour qu’Alassane Ouattara ait la majorité à l’Assemblée nationale », a-t-il rappelé. Pour ce qui le concerne, Alphonse Soro espère que sa candidature unira tous les fils et filles de Karakoro à qui il entend faire bénéficier d’ailleurs du programme de gouvernement du chef de l’Etat. « Ma candidature doit rassembler tout le monde et faire en sorte que Karakoro cesse d’être orphelin. Si je suis député, je mettrai fin au bavardage à Karakoro pour faire place au travail », a-t-il promis. S’il est élu, Alphonse Soro entend incarner une nouvelle génération de députés qui, en plus du vote des lois, informeront régulièrement leurs populations sur la vie de la nation. «Fini les députés qui vont dormir à l’Assemblée et dont le rôle se limite uniquement aux funérailles. Il faut révolutionner le titre de député en lui donnant tout son sens», a-t-il conclu.
David Yala