Les choses se précisent pour la 13ème édition des Ebony, soirée de prestige et de récompenses des meilleurs journalistes de l’année. Mam Camara, président de l’Union nationales des journalistes de Côte d’Ivoire, donne les derniers détails sur les préparatifs et l’organisation pratique de l’événement du 4 novembre…
La Nuit des Ebony approche. Pour ce qui est de la bonne marche des préparatifs, vous confirmez ?
Oui, je confirme. La date effective est le vendredi 4 novembre 2011. La commission a terminé son travail. Elle l’a déposé au jury. Présidé par le doyen Antoine Kacou, le jury est en train de passer à la phase des notes. Selon le programme qui m’a été donné, il devrait finir ses travaux autour du 25 octobre. Nous avons réservé le Palais des congrès de l’Hôtel Ivoire. La télévision ivoirienne qui va retransmettre l’événement était là-bas aussi pour voir le décor. Nous travaillons tous les jours. Toutes les commissions sont à l’œuvre pour que la 13ème édition soit une réussite. Il y a un défilé de journalistes, le styliste Alain Sagia qui est le chorégraphe travaille à cela. Nous n’attendons que les réactions de nos partenaires pour concrétiser un certain nombre de choses. Les lots des Ebony sont déjà identifiés. Les différentes récompenses sont déjà disponibles. C’est juste pour dire que tout fonctionne normalement pour que la soirée ait lieu comme prévu.
Concernant les candidats présélectionnés, le niveau augure-t-il d’un bon résultat ?
Je pense qu’on aura un bon Ebony. La commission a travaillé, au bas mot, sur près de 2000 productions. Parmi ces productions, elle a fait un tri sur les blâmes, les avertissements, la possession de la carte de journaliste professionnel, les conclusions du genre. Après ce tri, tout a été reversé au jury qui donne les notes. Je constate qu’ils ont été très rigoureux. Par conséquent, l’Ebony qui va sortir sera bon et rigoureux parce que ça va tenir compte de la quantité et de la qualité de sa production. Le 4 novembre, vous comprendrez pourquoi je parle d’un Ebony rigoureux. Le terme rigoureux aura son sens dans la proclamation des résultats. Il y aura beaucoup de surprises.
Y a-t-il des innovations majeures cette année ?
Oui ! Beaucoup d’innovations. Au niveau du plateau artistique, il est prévu cette année un concert live acoustique que l’Unjci offre, en plus du défilé des journalistes. Cette édition est placée sous le signe de la réconciliation nationale. C’est pourquoi nous avons des invités spéciaux. Tiken Jah et Alpha Blondy qui se sont réconciliés récemment. C’est une occasion d’amener les journalistes à ne pas avoir de problèmes entre eux et à bien jouer leur partition dans le processus de réconciliation nationale. La grande innovation, pour ainsi dire, c’est l’ouverture de l’Hôtel Ivoire au grand public, depuis sa fermeture. Les salles sont totalement rénovées. C’est un grand privilège pour l’Unjci d’être au Palais des congrès le vendredi 4 novembre prochain. Tous ceux qui travaillent à la concrétisation de cet événement sont à pied d’œuvre. Au niveau des lots, il y aura des surprises sur tous les plans. Que ce soit au niveau de la représentativité, des autorités, des artistes, des invités, des journalistes, il y aura des récompenses. Au niveau des Ebony, rassurez-vous qu’il y aura une villa. Tous les lots promis seront attribués. Les partenaires vont massivement réagir pour que les nominés soient des Ebony heureux en repartant du Palais des congrès de l’Hôtel Ivoire.
Quel type de journaliste peut participer à cette soirée et à quelle condition ?
Aucune condition n’est exigée pour les journalistes. A part les partenaires qui prennent des tables, les journalistes n’auront aucun droit à payer. Nos partenaires supportent les charges. Les différentes rédactions recevront des cartons d’invitation. Ce sont les patrons de presse qui mettront à disposition les journalistes pour participer et couvrir l’événement.
L’Unjci a multiplié les séminaires ces derniers temps. Est-ce la preuve que le président est dans son rôle ou est-ce tout juste une volonté manifeste de véritablement booster la presse ivoirienne ?
Ce sont les deux en même temps. Le président est dans son rôle parce qu’il est là pour ça. En même temps, c’est une volonté manifeste du Conseil exécutif de booster, crédibiliser, responsabiliser l’Union et professionnaliser le métier que nous faisons. D’où le renforcement de capacités et les formations pour que nous ayons les fondamentaux au niveau de notre métier afin de pouvoir mieux informer les populations. Les journalistes sont satisfaits de la forte capacité du conseil à assurer ces formations académiques qui se font avec les universités. C’est ce qu’ils attendaient.
Euphrate Djako et Mass Domi
La Nuit des Ebony approche. Pour ce qui est de la bonne marche des préparatifs, vous confirmez ?
Oui, je confirme. La date effective est le vendredi 4 novembre 2011. La commission a terminé son travail. Elle l’a déposé au jury. Présidé par le doyen Antoine Kacou, le jury est en train de passer à la phase des notes. Selon le programme qui m’a été donné, il devrait finir ses travaux autour du 25 octobre. Nous avons réservé le Palais des congrès de l’Hôtel Ivoire. La télévision ivoirienne qui va retransmettre l’événement était là-bas aussi pour voir le décor. Nous travaillons tous les jours. Toutes les commissions sont à l’œuvre pour que la 13ème édition soit une réussite. Il y a un défilé de journalistes, le styliste Alain Sagia qui est le chorégraphe travaille à cela. Nous n’attendons que les réactions de nos partenaires pour concrétiser un certain nombre de choses. Les lots des Ebony sont déjà identifiés. Les différentes récompenses sont déjà disponibles. C’est juste pour dire que tout fonctionne normalement pour que la soirée ait lieu comme prévu.
Concernant les candidats présélectionnés, le niveau augure-t-il d’un bon résultat ?
Je pense qu’on aura un bon Ebony. La commission a travaillé, au bas mot, sur près de 2000 productions. Parmi ces productions, elle a fait un tri sur les blâmes, les avertissements, la possession de la carte de journaliste professionnel, les conclusions du genre. Après ce tri, tout a été reversé au jury qui donne les notes. Je constate qu’ils ont été très rigoureux. Par conséquent, l’Ebony qui va sortir sera bon et rigoureux parce que ça va tenir compte de la quantité et de la qualité de sa production. Le 4 novembre, vous comprendrez pourquoi je parle d’un Ebony rigoureux. Le terme rigoureux aura son sens dans la proclamation des résultats. Il y aura beaucoup de surprises.
Y a-t-il des innovations majeures cette année ?
Oui ! Beaucoup d’innovations. Au niveau du plateau artistique, il est prévu cette année un concert live acoustique que l’Unjci offre, en plus du défilé des journalistes. Cette édition est placée sous le signe de la réconciliation nationale. C’est pourquoi nous avons des invités spéciaux. Tiken Jah et Alpha Blondy qui se sont réconciliés récemment. C’est une occasion d’amener les journalistes à ne pas avoir de problèmes entre eux et à bien jouer leur partition dans le processus de réconciliation nationale. La grande innovation, pour ainsi dire, c’est l’ouverture de l’Hôtel Ivoire au grand public, depuis sa fermeture. Les salles sont totalement rénovées. C’est un grand privilège pour l’Unjci d’être au Palais des congrès le vendredi 4 novembre prochain. Tous ceux qui travaillent à la concrétisation de cet événement sont à pied d’œuvre. Au niveau des lots, il y aura des surprises sur tous les plans. Que ce soit au niveau de la représentativité, des autorités, des artistes, des invités, des journalistes, il y aura des récompenses. Au niveau des Ebony, rassurez-vous qu’il y aura une villa. Tous les lots promis seront attribués. Les partenaires vont massivement réagir pour que les nominés soient des Ebony heureux en repartant du Palais des congrès de l’Hôtel Ivoire.
Quel type de journaliste peut participer à cette soirée et à quelle condition ?
Aucune condition n’est exigée pour les journalistes. A part les partenaires qui prennent des tables, les journalistes n’auront aucun droit à payer. Nos partenaires supportent les charges. Les différentes rédactions recevront des cartons d’invitation. Ce sont les patrons de presse qui mettront à disposition les journalistes pour participer et couvrir l’événement.
L’Unjci a multiplié les séminaires ces derniers temps. Est-ce la preuve que le président est dans son rôle ou est-ce tout juste une volonté manifeste de véritablement booster la presse ivoirienne ?
Ce sont les deux en même temps. Le président est dans son rôle parce qu’il est là pour ça. En même temps, c’est une volonté manifeste du Conseil exécutif de booster, crédibiliser, responsabiliser l’Union et professionnaliser le métier que nous faisons. D’où le renforcement de capacités et les formations pour que nous ayons les fondamentaux au niveau de notre métier afin de pouvoir mieux informer les populations. Les journalistes sont satisfaits de la forte capacité du conseil à assurer ces formations académiques qui se font avec les universités. C’est ce qu’ils attendaient.
Euphrate Djako et Mass Domi