Le commandant Chérif Ousmane et ses hommes ont fait face à une violente attaque armée alors qu’ils se rendaient hier à Bouaké.
Le cortège du commandant en second de la sécurité du Palais de la Présidence, Chérif Ousmane, a essuyé des tirs nourris au corridor Sud de Bouaké. Hier, selon nos sources, en partance pour Bouaké, le numéro 2 de la Garde du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, et ses hommes ont été violemment attaqués à l’arme lourde. L’incident s’est déroulé vers 21 heures entre Djébonoua et Bouaké. ‘‘Papa Guépard’’ et les éléments de sa garde rapprochée, à en croire nos sources, sont tombés dans une énorme embuscade. La violence des hostilités et la puissance de feu des assaillants ont contraint le commandant Chérif Ousmane à descendre dans l’arène pour combattre aux côtés de ses hommes. La majeure partie des véhicules de son cortège a été criblée de balles. Bilan des combats: un blessé. L’infortuné élément du commandant Chérif Ousmane a été blessé à la tête. Le commandant, lui, est sorti indemne de l’attaque. Devant la puissance de feu que le commandant et ses hommes ont opposé aux assaillants, ceux-ci ont été contraints à prendre la poudre d’escampette. Ils se sont évanouis dans la nature à la faveur de la pénombre.
Sans demander leur reste. Le commandant et ses hommes ont bouclé tout le périmètre pour procéder à un ratissage sans succès. Alors question. Qui en voulait au cortège de Chérif Ousmane? Les accusations vont bon train. Mais, selon de bonnes sources, l’ancien homme fort des Forces Nouvelles à Bouaké et ses éléments sont tombés dans une nasse tendue par des coupeurs de route. Mais, leur expérience du terrain et leur connaissance du métier de l’arme, leur ont permis de s’en sortir sans grand dommage. Tous nos efforts pour joindre le commandant pour en savoir un peu plus sur cette attaque sont restés vains.
Tibet Kipré
Le cortège du commandant en second de la sécurité du Palais de la Présidence, Chérif Ousmane, a essuyé des tirs nourris au corridor Sud de Bouaké. Hier, selon nos sources, en partance pour Bouaké, le numéro 2 de la Garde du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, et ses hommes ont été violemment attaqués à l’arme lourde. L’incident s’est déroulé vers 21 heures entre Djébonoua et Bouaké. ‘‘Papa Guépard’’ et les éléments de sa garde rapprochée, à en croire nos sources, sont tombés dans une énorme embuscade. La violence des hostilités et la puissance de feu des assaillants ont contraint le commandant Chérif Ousmane à descendre dans l’arène pour combattre aux côtés de ses hommes. La majeure partie des véhicules de son cortège a été criblée de balles. Bilan des combats: un blessé. L’infortuné élément du commandant Chérif Ousmane a été blessé à la tête. Le commandant, lui, est sorti indemne de l’attaque. Devant la puissance de feu que le commandant et ses hommes ont opposé aux assaillants, ceux-ci ont été contraints à prendre la poudre d’escampette. Ils se sont évanouis dans la nature à la faveur de la pénombre.
Sans demander leur reste. Le commandant et ses hommes ont bouclé tout le périmètre pour procéder à un ratissage sans succès. Alors question. Qui en voulait au cortège de Chérif Ousmane? Les accusations vont bon train. Mais, selon de bonnes sources, l’ancien homme fort des Forces Nouvelles à Bouaké et ses éléments sont tombés dans une nasse tendue par des coupeurs de route. Mais, leur expérience du terrain et leur connaissance du métier de l’arme, leur ont permis de s’en sortir sans grand dommage. Tous nos efforts pour joindre le commandant pour en savoir un peu plus sur cette attaque sont restés vains.
Tibet Kipré
