Une soixantaine d’ex-combattants, notamment des miliciens et membres de groupes d’auto-défense, ont déposé, le 13 octobre à Daloa, une trentaine d’armes qu’ils détenaient.
Ce geste s’inscrit dans le cadre du lancement de l’opération de dépôt volontaire d’armes et de munitions initiée par la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légère et de petit calibre (COMNAT-CI), en partenariat avec l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Au total, 24 armes de guerre et sept fusils de type calibre 12, plus 639 munitions ont été collectés par la COMNAT-CI et les Casques bleus, au terme d’un travail préparatoire et de sensibilisation mené par Diakité Daouda, point focal de la COMNAT-CI, en direction des assimilés aux FRCI et les jeunes membres de milices ou de groupes d’auto-défense.
Selon les différents intervenants dont le secrétaire exécutif adjoint de la COMNAT-CI, Anzian Kouadja, et le préfet de la région du Haut Sassandra et du département de Daloa, Brou Kouamé, la cérémonie de Daloa est la première d’une série d’initiatives nationales de collectes d’armes légères et de petits calibres. Elle offre aussi l’opportunité à ceux qui détiennent des armes de façon illégale de les déposer volontairement, sans aucune action de représailles à leur encontre.
Les éléments qui déposent leurs armes reçoivent une carte de désarmement qui leur permettra de s’inscrire dans un programme de réinsertion sociale. Pour cet engagement visant à contribuer à améliorer la sécurité des personnes et des biens et qui constitue un pas important sur le chemin de la réconciliation et de la paix, les acteurs et le public ont été encouragés à sensibiliser d’autres ex-combattants pour le désarmement total sur le territoire national.
Selon le secrétaire exécutif adjoint de la COMNAT-CI, 90 à 95% des armes utilisées pendant la crise postélectorale constituent des armes légères et de petit calibre, allant de pistolets mitrailleurs (PM) aux kalachnikovs, en passant par les grenades défensives et lacrymogènes, les fusils calibres 12, les fusils de fabrication locale, etc.
La prolifération et la circulation illicite de ces armes sont la conséquence de nombreux braquages et d’attaques à main armée, d’où l’urgence pour tous d’œuvrer au dépôt volontaire desdites armes par des personnes non autorisées, a indiqué le représentant de la COMNAT-CI.
(AIP)
yy/cmas
Ce geste s’inscrit dans le cadre du lancement de l’opération de dépôt volontaire d’armes et de munitions initiée par la Commission nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des armes légère et de petit calibre (COMNAT-CI), en partenariat avec l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI).
Au total, 24 armes de guerre et sept fusils de type calibre 12, plus 639 munitions ont été collectés par la COMNAT-CI et les Casques bleus, au terme d’un travail préparatoire et de sensibilisation mené par Diakité Daouda, point focal de la COMNAT-CI, en direction des assimilés aux FRCI et les jeunes membres de milices ou de groupes d’auto-défense.
Selon les différents intervenants dont le secrétaire exécutif adjoint de la COMNAT-CI, Anzian Kouadja, et le préfet de la région du Haut Sassandra et du département de Daloa, Brou Kouamé, la cérémonie de Daloa est la première d’une série d’initiatives nationales de collectes d’armes légères et de petits calibres. Elle offre aussi l’opportunité à ceux qui détiennent des armes de façon illégale de les déposer volontairement, sans aucune action de représailles à leur encontre.
Les éléments qui déposent leurs armes reçoivent une carte de désarmement qui leur permettra de s’inscrire dans un programme de réinsertion sociale. Pour cet engagement visant à contribuer à améliorer la sécurité des personnes et des biens et qui constitue un pas important sur le chemin de la réconciliation et de la paix, les acteurs et le public ont été encouragés à sensibiliser d’autres ex-combattants pour le désarmement total sur le territoire national.
Selon le secrétaire exécutif adjoint de la COMNAT-CI, 90 à 95% des armes utilisées pendant la crise postélectorale constituent des armes légères et de petit calibre, allant de pistolets mitrailleurs (PM) aux kalachnikovs, en passant par les grenades défensives et lacrymogènes, les fusils calibres 12, les fusils de fabrication locale, etc.
La prolifération et la circulation illicite de ces armes sont la conséquence de nombreux braquages et d’attaques à main armée, d’où l’urgence pour tous d’œuvrer au dépôt volontaire desdites armes par des personnes non autorisées, a indiqué le représentant de la COMNAT-CI.
(AIP)
yy/cmas
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