Man – Avant l’arrivée annoncée des éléments de la brigade de salubrité urbaine dans le cadre de l’opération d’assainissement lancée à l’échelle nationale par les nouvelles autorités, les commerçants de Man et tous les autres occupants de la voirie publique ont commencé depuis plusieurs jours à démonter leurs étals et à casser les édifices placés sur l’espace public.
Cette activité qui a pris un coup d’accélérateur avec le récent passage dans la capitale de la région des Montagnes d’une mission de l’Agence nationale de salubrité urbaine (ANASUR) donne à la ville l’aspect d’une cité en chantier. Salons de coiffure et de couture, kiosques, bistrots, boutiques et autres commerces disparaissent peu à peu des principales artères de Man.
« On a l’impression de respirer mieux ici. La ville est de plus en aérée grâce à cette opération », note une habitante, Ouattara Djenébou. « Je ne savais pas que notre ville était aussi belle. Avec le goudron qui arrive, nous serons fiers d’inviter tout le monde à venir visiter Man », renchérit Gueu Diomandé Pierre.
La ‘rue princesse’ de Man sise au quartier Doyagouiné reste toutefois une énigme dans le mouvement qui s’est enclenché dans la ville. Certains commerçants suivent les activités d’auto déguerpissement en pliant d’eux-mêmes leurs affaires tandis que d’autres continuent de s’estimer pas concernés.
C’est le cas notamment d’un maquis géant dont les travaux de construction viennent à peine de s’achever. Nouvelle attraction de la ‘rue princesse’, sa destruction est au centre de toutes les conversations notamment auprès des noctambules de la cité.
« Le cas de la rue princesse devrait faire l’objet d’une mission spécifique afin que cet espace s’accommode aux normes de sécurité et d’hygiène valables partout en Côte d’Ivoire », avait déclaré vendredi le lieutenant Bognini de l’ANASUR, lors de son passage à Man à la faveur d’une mission de la structure en prélude à la visite du Chef de l’Etat dans les régions des Montagnes et du Moyen Cavally.
(AIP)
Cette activité qui a pris un coup d’accélérateur avec le récent passage dans la capitale de la région des Montagnes d’une mission de l’Agence nationale de salubrité urbaine (ANASUR) donne à la ville l’aspect d’une cité en chantier. Salons de coiffure et de couture, kiosques, bistrots, boutiques et autres commerces disparaissent peu à peu des principales artères de Man.
« On a l’impression de respirer mieux ici. La ville est de plus en aérée grâce à cette opération », note une habitante, Ouattara Djenébou. « Je ne savais pas que notre ville était aussi belle. Avec le goudron qui arrive, nous serons fiers d’inviter tout le monde à venir visiter Man », renchérit Gueu Diomandé Pierre.
La ‘rue princesse’ de Man sise au quartier Doyagouiné reste toutefois une énigme dans le mouvement qui s’est enclenché dans la ville. Certains commerçants suivent les activités d’auto déguerpissement en pliant d’eux-mêmes leurs affaires tandis que d’autres continuent de s’estimer pas concernés.
C’est le cas notamment d’un maquis géant dont les travaux de construction viennent à peine de s’achever. Nouvelle attraction de la ‘rue princesse’, sa destruction est au centre de toutes les conversations notamment auprès des noctambules de la cité.
« Le cas de la rue princesse devrait faire l’objet d’une mission spécifique afin que cet espace s’accommode aux normes de sécurité et d’hygiène valables partout en Côte d’Ivoire », avait déclaré vendredi le lieutenant Bognini de l’ANASUR, lors de son passage à Man à la faveur d’une mission de la structure en prélude à la visite du Chef de l’Etat dans les régions des Montagnes et du Moyen Cavally.
(AIP)