Mme Cristina Diaz Fernandez-Gil a fini sa mission en Côte d’ivoire, après quatre ans passés sur le sol ivoirien. Avant son départ, celle qui a été élevée à la dignité de Commandeur dans l’ordre national pour services rendus à la Côte d’Ivoire, s’est confiée à la presse à la sortie de l’audience que lui a accordée le ministre des Affaires étrangères SEM Daniel Kablan Duncan. Propos.
Excellence, vous quittez la Côte d’Ivoire au moment où elle amorce sa reconstruction post-crise. Vos impressions ?
Cristina Diaz Fernandez-Gil : la Côte d’ivoire, pour ma part, a bien démarré la reconstruction post-crise. Après trois, quatre mois, l’Espagne entrevoit beaucoup d’espoir pour la Côte d’Ivoire. En tout cas, c’est un pays qui est très important pour l’Espagne, parce qu’il se trouve dans un rayon qui est très proche de notre frontière sud. Tout ce qui se passe ici va avoir un impacte chez nous. C’est de là que vient notre intérêt d’avoir une Côte d’Ivoire stable, prospère et pacifiée.
Au moment où vous quittez la Côte d’Ivoire, est-ce qu’on peut avoir le niveau de coopération qui existe entre votre pays et la Côte d’Ivoire ?
CDF-G : L’Espagne est présente en Côte d’Ivoire depuis les années 60. On n’a travaillé dans le domaine des infrastructures sociales, de l’éducation, de la formation, de la santé et de l’emploi de la jeunesse. C’était un vaste programme que nous avons développé depuis les années 90 à 2000. Aujourd’hui encore, l’Espagne continue à avoir cet intérêt pour la formation et l’emploi des jeunes ainsi que tout ce qui concerne les droits de la femme. L’Espagne a été toujours engagée dans l’humanitaire. C'est-à-dire entreprendre des initiatives pour soulager les populations dans les crises humanitaires qu’il y a eu ici dans ce pays. Maintenant, nous tournons la page, la Côte d’Ivoire se trouve dans une nouvelle étape et l’Espagne voudrait continuer de travailler avec la Côte d’Ivoire. C’est de cela dont avons parlé avec le ministre des Affaires étrangères. Ce que l’Espagne peut faire pour la Côte d’Ivoire pour continuer notre appui à ce pays.
Recueillis par JCC
Excellence, vous quittez la Côte d’Ivoire au moment où elle amorce sa reconstruction post-crise. Vos impressions ?
Cristina Diaz Fernandez-Gil : la Côte d’ivoire, pour ma part, a bien démarré la reconstruction post-crise. Après trois, quatre mois, l’Espagne entrevoit beaucoup d’espoir pour la Côte d’Ivoire. En tout cas, c’est un pays qui est très important pour l’Espagne, parce qu’il se trouve dans un rayon qui est très proche de notre frontière sud. Tout ce qui se passe ici va avoir un impacte chez nous. C’est de là que vient notre intérêt d’avoir une Côte d’Ivoire stable, prospère et pacifiée.
Au moment où vous quittez la Côte d’Ivoire, est-ce qu’on peut avoir le niveau de coopération qui existe entre votre pays et la Côte d’Ivoire ?
CDF-G : L’Espagne est présente en Côte d’Ivoire depuis les années 60. On n’a travaillé dans le domaine des infrastructures sociales, de l’éducation, de la formation, de la santé et de l’emploi de la jeunesse. C’était un vaste programme que nous avons développé depuis les années 90 à 2000. Aujourd’hui encore, l’Espagne continue à avoir cet intérêt pour la formation et l’emploi des jeunes ainsi que tout ce qui concerne les droits de la femme. L’Espagne a été toujours engagée dans l’humanitaire. C'est-à-dire entreprendre des initiatives pour soulager les populations dans les crises humanitaires qu’il y a eu ici dans ce pays. Maintenant, nous tournons la page, la Côte d’Ivoire se trouve dans une nouvelle étape et l’Espagne voudrait continuer de travailler avec la Côte d’Ivoire. C’est de cela dont avons parlé avec le ministre des Affaires étrangères. Ce que l’Espagne peut faire pour la Côte d’Ivoire pour continuer notre appui à ce pays.
Recueillis par JCC
