Au salon d’honneur où il a été installé après les chaudes accolades et chaleureuses poignées de main aux nombreuses personnalités de son parti qui ont effectué le déplacement pour l’accueillir, le président Henri Konan Bédié s’est prêté à trois questions de la presse.
Monsieur le président, vous revenez de France où vous avez pris part à la cérémonie de remise du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix. Concrètement, qu’est-ce qu’on retient de votre voyage ?
Je crois que plusieurs enseignements peuvent être tirés de ce voyage. Ce n’est pas le premier du genre d’ailleurs, puisque pratiquement tous les ans, pendant vingt ans, nous nous rendons à Paris pour la remise du prix Houphouët-Boigny de l’Unesco. Cette fois-ci, il s’agissait de la 20° édition de cette cérémonie, dont je dois souligner, le succès est grandissant, le rayonnement est grandissant. Puisque cette année, nous avons reçu comme participants à la cérémonie, huit chefs d’Etat. Alors, ce qu’on peut tirer comme enseignements, c’est que le prix se dédie à la recherche de la paix. C’est donc à travers le monde, les personnes qui auront réalisé des actions importantes dans ce domaine-là, que nous honorons. Le prix qui se décerne à Paris est aussi une bonne occasion de promotion de la Côte d’Ivoire.
Monsieur le président, vous arrivez au moment où le délai de dépôt des éventuels candidats aux élections législatives tire à sa fin. Quel est le message que vous avez pour les candidats de votre parti ?
S’agissant des législatives, je me donne le temps d’arriver, de prendre connaissance des dossiers avant de faire quelques commentaires que ce soit.
Vous avez dit à Paris que le Rhdp ira à ces élections en rang dispersé, mais pas opposé. Cela a créé un peu de tollé à Abidjan. Est-ce qu’on peut mieux comprendre votre idée ?
J’ai eu l’occasion d’expliciter ma pensée. J’ai dit que de toutes les façons, nous irons en Rhdp. Ce qui signifie ni plus ni moins, une action concertée à la suite des négociations, de compromis. Donc, il ne s’agit pas d’une dispersion anarchique. Mais il s’agit bien d’une concertation.
Propos recueillis par Paul Koffi
Monsieur le président, vous revenez de France où vous avez pris part à la cérémonie de remise du prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix. Concrètement, qu’est-ce qu’on retient de votre voyage ?
Je crois que plusieurs enseignements peuvent être tirés de ce voyage. Ce n’est pas le premier du genre d’ailleurs, puisque pratiquement tous les ans, pendant vingt ans, nous nous rendons à Paris pour la remise du prix Houphouët-Boigny de l’Unesco. Cette fois-ci, il s’agissait de la 20° édition de cette cérémonie, dont je dois souligner, le succès est grandissant, le rayonnement est grandissant. Puisque cette année, nous avons reçu comme participants à la cérémonie, huit chefs d’Etat. Alors, ce qu’on peut tirer comme enseignements, c’est que le prix se dédie à la recherche de la paix. C’est donc à travers le monde, les personnes qui auront réalisé des actions importantes dans ce domaine-là, que nous honorons. Le prix qui se décerne à Paris est aussi une bonne occasion de promotion de la Côte d’Ivoire.
Monsieur le président, vous arrivez au moment où le délai de dépôt des éventuels candidats aux élections législatives tire à sa fin. Quel est le message que vous avez pour les candidats de votre parti ?
S’agissant des législatives, je me donne le temps d’arriver, de prendre connaissance des dossiers avant de faire quelques commentaires que ce soit.
Vous avez dit à Paris que le Rhdp ira à ces élections en rang dispersé, mais pas opposé. Cela a créé un peu de tollé à Abidjan. Est-ce qu’on peut mieux comprendre votre idée ?
J’ai eu l’occasion d’expliciter ma pensée. J’ai dit que de toutes les façons, nous irons en Rhdp. Ce qui signifie ni plus ni moins, une action concertée à la suite des négociations, de compromis. Donc, il ne s’agit pas d’une dispersion anarchique. Mais il s’agit bien d’une concertation.
Propos recueillis par Paul Koffi
