Abidjan - Les enquêtes ouvertes à la suite de la crise postélectorale se poursuivent, affirme le parquet d’Abidjan dans un communiqué dont l’AIP a reçu copie vendredi.
Selon le porte-parole du procureur de la République, le substitut Habiba Coulibaly, la Cellule spéciale d’enquête continue de procéder à l’audition des sachants et des victimes sur les faits relevant des crimes de sang.
"A ce jour, 2.486 personnes ont été enregistrées et entendues", révèle substitut du procureur, ajoutant que des équipes d’officiers de police judiciaire se sont rendues à l’intérieur du pays, notamment à Dabou, Tiassalé, Anyama et à Agboville, à l’effet d’entendre les victimes et tout sachant des évènements survenus aux lendemains du second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre.
Concernant les infractions économiques, selon le parquet d’Abidjan-Plateau, trois nouvelles personnes ont été inculpées cette semaine, mais sans être placées sous mandat de dépôt, conformément à la décision du juge d’instruction ayant l’affaire en main.
"Dans cette procédure, le nombre des personnes inculpées est donc passé à 24. L’enquête suit son cours", a indiqué Mme Habiba Coulibaly, rappelant que plusieurs mandats d’arrêt ont été déjà décernés contre plusieurs personnes réfugiées dans la sous-région ou ailleurs dans le monde.
S’agissant de l’infraction d’atteinte à la sureté de l’Etat, 42 personnes ont été inculpées et placées sous mandat de dépôt dans cette enquête et de l’enlèvement, séquestration et assassinat de Yves Lamblin et ses compagnons, 20 personnes sont inculpées après le mandat de dépôt délivré cette semaine à un gendarme.
A la suite de la crise postélectorale survenue au lendemain de l’élection présidentielle de novembre 2010, le président de la République, Alassane Ouattara, a instruit le procureur de la République, Simplice Kouadio Koffi, à diligenter une enquête aux fins de juger les auteurs présumés de ces évènements violents qui ont fait officiellement 3.000 morts, de nombreux blessés et d’importants dégâts matériels ainsi que des milliers de déplacés et réfugiés, rappelle-t-on.
kp
Selon le porte-parole du procureur de la République, le substitut Habiba Coulibaly, la Cellule spéciale d’enquête continue de procéder à l’audition des sachants et des victimes sur les faits relevant des crimes de sang.
"A ce jour, 2.486 personnes ont été enregistrées et entendues", révèle substitut du procureur, ajoutant que des équipes d’officiers de police judiciaire se sont rendues à l’intérieur du pays, notamment à Dabou, Tiassalé, Anyama et à Agboville, à l’effet d’entendre les victimes et tout sachant des évènements survenus aux lendemains du second tour de l’élection présidentielle du 28 novembre.
Concernant les infractions économiques, selon le parquet d’Abidjan-Plateau, trois nouvelles personnes ont été inculpées cette semaine, mais sans être placées sous mandat de dépôt, conformément à la décision du juge d’instruction ayant l’affaire en main.
"Dans cette procédure, le nombre des personnes inculpées est donc passé à 24. L’enquête suit son cours", a indiqué Mme Habiba Coulibaly, rappelant que plusieurs mandats d’arrêt ont été déjà décernés contre plusieurs personnes réfugiées dans la sous-région ou ailleurs dans le monde.
S’agissant de l’infraction d’atteinte à la sureté de l’Etat, 42 personnes ont été inculpées et placées sous mandat de dépôt dans cette enquête et de l’enlèvement, séquestration et assassinat de Yves Lamblin et ses compagnons, 20 personnes sont inculpées après le mandat de dépôt délivré cette semaine à un gendarme.
A la suite de la crise postélectorale survenue au lendemain de l’élection présidentielle de novembre 2010, le président de la République, Alassane Ouattara, a instruit le procureur de la République, Simplice Kouadio Koffi, à diligenter une enquête aux fins de juger les auteurs présumés de ces évènements violents qui ont fait officiellement 3.000 morts, de nombreux blessés et d’importants dégâts matériels ainsi que des milliers de déplacés et réfugiés, rappelle-t-on.
kp