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Politique Publié le jeudi 3 novembre 2011 | Nord-Sud

Bruno Koné, porte-parole du gouvernement, à propos des conditions du Fpi/Cnrd : «On ne peut pas demander des choses infaisables »

© Nord-Sud Par DR
NTIC : Conférence de presse du Ministre de la Poste et des TIC Mr Bruno Nabagné KONE - Autre presse
Une Conférence de presse du Ministre de la Poste et des TIC Mr Bruno Nabagné KONE s`est tenu ce lundi 19 septembre 2011 à l`hôtel TIAMA autour d`un petit déjeuner.
Le gouvernement, selon son porte-parole Bruno Koné, attend de l’opposition qu’elle soit réaliste dans le dialogue républicain entamé avec le président de la République, Alassane Ouattara.

Le ‘’dialogue républicain‘’ ou les négociations qu’a engagés le président de la République, Alassane Ouattara, avec l’opposition ont été des points abordés en conseil des ministres, hier, au palais présidentiel au Plateau. Le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, en faisant le résumé, a indiqué que le chef de l’Etat a insisté sur la participation de tous les partis au jeu politique. Toutefois, en faisant allusion aux conditions du Front populaire ivoirien et du Congrès national de la résistance et la démocratie (Fpi/Cnrd), il a indiqué qu’ « on ne peut pas demander des choses qui sont infaisables ». Pour rappel, le Fpi conditionne sa participation aux législatives à la satisfaction de ses « conditions ». Le parti de Laurent Gbagbo a remis au chef de l’Etat « un mémorandum contenant toutes ses revendications », le 29 septembre dernier au cours d’une audience accordée au Fpi/Cnrd. Ces préalables sont « la libération du président Laurent Gbagbo et de tous les autres détenus civils et militaires ; le retour de tous les exilés et les déplacés ; l’arrêt de toutes les procédures judiciaires ; le dégel des avoirs des personnalités du FPI/Cnrd ; la sécurité des personnes et des biens et surtout la sécurité du processus électoral ; la composition de la Commission électorale indépendante (Cei) ; la révision de la liste électorale ; le découpage des circonscriptions électorales et la détermination des sièges... » Si certaines de ces conditions ont été à nouveau abordées, lundi soir, par le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, le chef de l’Etat, lui, continue de faire ce qui est possible pour que l’opposition prenne le train électoral en marche, selon le porte-parole. Car, comme il l’a dit ce « train est lancé » avec la clôture le lundi 31 octobre dernier du dépôt des candidatures à la députation.


Bidi Ignace
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