C’est dans l’intimité familiale que la dépouille mortuaire de feu Désiré Tagro a été portée sous terre le samedi 5 novembre 2011 à Gabia dans la sous-préfecture de Saïoua.
Scènes de douleur profonde et de détresse ce jour pour le retour définitif de ce digne fils de Gabia. Famille, parents, autochtones et allogènes sont tous venus rendre le dernier hommage à ce grand homme qui a occupé sous le régime de l’ex-Président Laurent Gbagbo, de hautes fonctions en Côte d’Ivoire. C’est d’abord le Pr Ziki Koléa qui a fait l’éloge de Désiré Tagro. Il a retracé le parcours scolaire, universitaire et professionnel de l’illustre disparu. Avant de relever sa carrière politique auprès du Front populaire ivoirien (FPI) et de l’homme qui l’a incarné le Président Laurent Gbagbo. Le Pr Koléa a rappelé combien de fois, Désiré Tagro s’est fortement impliqué pour la paix en Côte d’Ivoire en menant de bout en bout, les négociations qui ont abouti à l’Accord politique de Ouagadougou (APO). A sa suite, c’est le fils du défunt, Tagro Zika, qui a fait une émouvante allocution. Celui-ci a affirmé qu’ils ne voyaient pas très souvent leur père à cause de ses multiples occupations. Mais, dans les derniers jours de son existence, ce dernier leur a demandé d’être toujours fidèles vis-à-vis de ceux pour qui, il travaille. A sa mère, au nom de tous les enfants, il a dit ceci : «Maman Awa ne pleure pas, ne pleure plus. Papa t’a laissé des garçons qui prendront soin de toi». Puis, c’est dans l’intimité familiale de la résidence des Tagro où un caveau a été construit que l’ancien ministre de l’Intérieur a été inhumé. La famille politique du défunt était représentée à cette cérémonie. On notait, entre autres, la présence du Pr Dédi Séri, Dano Djédjé, Amani N’Guessan, Akoun Laurent. Il faut préciser que le Président Alassane Ouattara et le Premier ministre Charles Konan Banny ont fait parvenir des dons par l’entremise d’émissaires à la famille éplorée.
Olivier Guédé
Scènes de douleur profonde et de détresse ce jour pour le retour définitif de ce digne fils de Gabia. Famille, parents, autochtones et allogènes sont tous venus rendre le dernier hommage à ce grand homme qui a occupé sous le régime de l’ex-Président Laurent Gbagbo, de hautes fonctions en Côte d’Ivoire. C’est d’abord le Pr Ziki Koléa qui a fait l’éloge de Désiré Tagro. Il a retracé le parcours scolaire, universitaire et professionnel de l’illustre disparu. Avant de relever sa carrière politique auprès du Front populaire ivoirien (FPI) et de l’homme qui l’a incarné le Président Laurent Gbagbo. Le Pr Koléa a rappelé combien de fois, Désiré Tagro s’est fortement impliqué pour la paix en Côte d’Ivoire en menant de bout en bout, les négociations qui ont abouti à l’Accord politique de Ouagadougou (APO). A sa suite, c’est le fils du défunt, Tagro Zika, qui a fait une émouvante allocution. Celui-ci a affirmé qu’ils ne voyaient pas très souvent leur père à cause de ses multiples occupations. Mais, dans les derniers jours de son existence, ce dernier leur a demandé d’être toujours fidèles vis-à-vis de ceux pour qui, il travaille. A sa mère, au nom de tous les enfants, il a dit ceci : «Maman Awa ne pleure pas, ne pleure plus. Papa t’a laissé des garçons qui prendront soin de toi». Puis, c’est dans l’intimité familiale de la résidence des Tagro où un caveau a été construit que l’ancien ministre de l’Intérieur a été inhumé. La famille politique du défunt était représentée à cette cérémonie. On notait, entre autres, la présence du Pr Dédi Séri, Dano Djédjé, Amani N’Guessan, Akoun Laurent. Il faut préciser que le Président Alassane Ouattara et le Premier ministre Charles Konan Banny ont fait parvenir des dons par l’entremise d’émissaires à la famille éplorée.
Olivier Guédé