Le 11 décembre prochain, nous retournons voter. Pour nous, il s’agira de tenir la promesse que nous avons faite au président Alassane Ouattara de le porter au pouvoir. Cela passe par la présidentielle mais aussi par les législatives.
En effet, pour que le président de la République puisse véritablement exercer le pouvoir et tenir ses engagements, il nous faut lui donner la majorité à l’Assemblée nationale.
Que nous a-t-il promis en retour? Du travail pour les femmes et les jeunes, le financement de leurs projets, des routes, des écoles, des hôpitaux, des prix justes pour les planteurs qui pourront leur permettre de vivre décemment des produits de la terre… En un mot, une société au travail, débout, prospère, démocratique, apaisée et égalitaire, dans laquelle les Ivoiriens du Sud, du Nord, du Centre, de l’Ouest, de l’Est se retrouvent pour bâtir une Côte d’Ivoire où il fait bon vivre ensemble.
Il est vrai que des problèmes liés au choix de certaines candidatures existent et que des frustrations légitimes sont exprimées. Parlons-en. A qui la faute? Le dernier séminaire du RDR sur les élections a fortement recommandé de désigner nos candidats par la voie du consensus au niveau de la base, la direction n’intervenant qu’en dernier recours. Mais qu’a-t-on constaté? A la première difficulté, on s’est systématiquement déchargé sur la direction du parti. Tous les candidats ont donc par avance accepté la décision de la direction du parti. Et la direction a tranché. Et ceux qui ont été choisis sont aussi des militants du RDR. Nous devons les soutenir. En vérité, les candidats et les structures du parti ont péché par paresse politique et la direction s’en est servi pour en faire une leçon de politique appliquée. Un mauvais arrangement, a-t-on coutume de dire, vaut mieux qu’un bon procès. Nous sommes donc prévenus pour les prochaines élections. Le dialogue, la maturité politique, la recherche du consensus nous éviteront à l’avenir des surprises désagréables.
Mais pour en venir à notre propos principal, les choix sont faits, les élections sont là et nous avons donné ‘’notre’’ Alassane Ouattara à la Côte d’Ivoire. A travers son élection, nous avons honoré nos morts. Avec les élections à venir, donnons un sens à notre combat et à notre vie en faisant gagner nos candidats pour que la Côte d’Ivoire change et pour que notre vie change. Ne nous trompons ni d’adversaire ni de combat. N’oublions pas d’où nous venons, sachons où nous allons.
Pour ma part, je voudrais vous inviter, compagnons de lutte, à la mobilisation. Je lance cet appel à tous les électeurs pour qu’ils puissent choisir nos candidats. Après les soubresauts, donnons à notre pays, la chance de connaître le développement, la stabilité politique, et la paix dans l’unité retrouvée avec le président de la République Alassane OUATTARA.
Abidjan le 06 /11/ 2011
ODJE TIAKORE JOSEPH
Président honoraire du RJR
En effet, pour que le président de la République puisse véritablement exercer le pouvoir et tenir ses engagements, il nous faut lui donner la majorité à l’Assemblée nationale.
Que nous a-t-il promis en retour? Du travail pour les femmes et les jeunes, le financement de leurs projets, des routes, des écoles, des hôpitaux, des prix justes pour les planteurs qui pourront leur permettre de vivre décemment des produits de la terre… En un mot, une société au travail, débout, prospère, démocratique, apaisée et égalitaire, dans laquelle les Ivoiriens du Sud, du Nord, du Centre, de l’Ouest, de l’Est se retrouvent pour bâtir une Côte d’Ivoire où il fait bon vivre ensemble.
Il est vrai que des problèmes liés au choix de certaines candidatures existent et que des frustrations légitimes sont exprimées. Parlons-en. A qui la faute? Le dernier séminaire du RDR sur les élections a fortement recommandé de désigner nos candidats par la voie du consensus au niveau de la base, la direction n’intervenant qu’en dernier recours. Mais qu’a-t-on constaté? A la première difficulté, on s’est systématiquement déchargé sur la direction du parti. Tous les candidats ont donc par avance accepté la décision de la direction du parti. Et la direction a tranché. Et ceux qui ont été choisis sont aussi des militants du RDR. Nous devons les soutenir. En vérité, les candidats et les structures du parti ont péché par paresse politique et la direction s’en est servi pour en faire une leçon de politique appliquée. Un mauvais arrangement, a-t-on coutume de dire, vaut mieux qu’un bon procès. Nous sommes donc prévenus pour les prochaines élections. Le dialogue, la maturité politique, la recherche du consensus nous éviteront à l’avenir des surprises désagréables.
Mais pour en venir à notre propos principal, les choix sont faits, les élections sont là et nous avons donné ‘’notre’’ Alassane Ouattara à la Côte d’Ivoire. A travers son élection, nous avons honoré nos morts. Avec les élections à venir, donnons un sens à notre combat et à notre vie en faisant gagner nos candidats pour que la Côte d’Ivoire change et pour que notre vie change. Ne nous trompons ni d’adversaire ni de combat. N’oublions pas d’où nous venons, sachons où nous allons.
Pour ma part, je voudrais vous inviter, compagnons de lutte, à la mobilisation. Je lance cet appel à tous les électeurs pour qu’ils puissent choisir nos candidats. Après les soubresauts, donnons à notre pays, la chance de connaître le développement, la stabilité politique, et la paix dans l’unité retrouvée avec le président de la République Alassane OUATTARA.
Abidjan le 06 /11/ 2011
ODJE TIAKORE JOSEPH
Président honoraire du RJR