Dans nombre de pays, ce troisième millénaire apporte de grands moyens de promotion économique dans le domaine du tourisme. C’est une activité de développement qui ne doit aucunement être négligée, d’autant que les pays qui ne l’auront pas compris seront en marge de cette nouvelle manne financière et d’un moyen sûr d’émancipation. Ainsi, quelles que soient ses activités, un pays se doit de développer ses industries dans n’importe quel secteur d’activité (primaires, secondaires et tertiaires).
L’artisanat, le commerce, l’industrie et toutes innovations ne doivent être en reste. En effet, seule la solidité du tissu économique et social d’un pays peut faire avec fierté sa grandeur. Aujourd’hui, le tourisme se développe à plusieurs niveaux. D’aucuns diront que le tourisme a changé de visage en se diversifiant. Il y a le tourisme d’affaires, de loisir, balnéaire, écologique, religieux, culturel, sportif etc. A l’heure actuelle, outres le développement des nouvelles technologies, la tendance est aux échanges, à la découverte et aux loisirs. A ce titre, savoir attirer le touriste, mettre sur pied les structures touristiques, les rendre performantes, ne peut qu’entraîner plusieurs créations d’emplois.
Ainsi, l’industrie touristique, dans un pays, quel que soit son stade de développement, est un potentiel naturel et humain, créateur de richesse. Les touristes, faut-il le dire, concourent activement au développement des activités touristiques. Car les artisans, les commerçants, les artistes etc, tout le monde y gagne. Le touriste recherche à la fois loisir, luxe, site pour repos et bien d’autres choses pouvant concourir à son épanouissement. Et ce ne sont pas ces atouts qui manquent à la Côte d’Ivoire.
La prospérité du pays a toujours été liée à son agriculture. Mais en réalité, la Côte d’Ivoire est assise sur une autre véritable mine d’or encore mal exploitée. C’est le secteur du tourisme. En effet, par sa situation géographique, la nature lui a offert de nombreux avantages. La Côte d’Ivoire dispose de tout ce qui faut pour attirer le touriste d’aujourd’hui. Ce qui peut lui permettre de renforcer son assise économique et de générer des devises. Avec son riche patrimoine culturel, les alliances interethniques, le pays offre un cadre enchanteur à ses visiteurs, même dans les contrées les plus reculées.
A cela s’ajoute son beau paysage, de longues plages maritimes, des littoraux lagunaires et les lagunes du Golf de Guinée, des fleuves, des cours d’eaux, des lacs etc. Aussi, le pays dispose d’une forêt dense au Sud, d’une zone des steppes au Centre et d’une Savane au Nord. On peut y pratiquer toutes sortes d’activités. Malgré tous ces atouts, le constat donne l’impression d’une Côte d’Ivoire inachevée où beaucoup reste à faire. A l’intérieur du pays, tout comme à Abidjan, les défis sont nombreux. La lagune Ebrié, faut-il le souligner, est l’un des potentiels mal exploités.
Aujourd’hui, ce don naturel sert de dépotoir aux ordures de toutes sortes, voire même aux excréments humains. Il y a aussi l’inexistence de systèmes de transport fluviaux entre les villes côtières et organiser des croisières. Notons que les anciennes capitales de la Côte d’Ivoire (Bassam et Bingerville), ont conservé quelques beaux vestiges qu’il serait indéniable de rénover dans l’intérêt des Ivoiriens eux-mêmes et celui des visiteurs qui souhaitent connaître l’histoire de la Côte d’Ivoire.
Lazare Kouadio
L’artisanat, le commerce, l’industrie et toutes innovations ne doivent être en reste. En effet, seule la solidité du tissu économique et social d’un pays peut faire avec fierté sa grandeur. Aujourd’hui, le tourisme se développe à plusieurs niveaux. D’aucuns diront que le tourisme a changé de visage en se diversifiant. Il y a le tourisme d’affaires, de loisir, balnéaire, écologique, religieux, culturel, sportif etc. A l’heure actuelle, outres le développement des nouvelles technologies, la tendance est aux échanges, à la découverte et aux loisirs. A ce titre, savoir attirer le touriste, mettre sur pied les structures touristiques, les rendre performantes, ne peut qu’entraîner plusieurs créations d’emplois.
Ainsi, l’industrie touristique, dans un pays, quel que soit son stade de développement, est un potentiel naturel et humain, créateur de richesse. Les touristes, faut-il le dire, concourent activement au développement des activités touristiques. Car les artisans, les commerçants, les artistes etc, tout le monde y gagne. Le touriste recherche à la fois loisir, luxe, site pour repos et bien d’autres choses pouvant concourir à son épanouissement. Et ce ne sont pas ces atouts qui manquent à la Côte d’Ivoire.
La prospérité du pays a toujours été liée à son agriculture. Mais en réalité, la Côte d’Ivoire est assise sur une autre véritable mine d’or encore mal exploitée. C’est le secteur du tourisme. En effet, par sa situation géographique, la nature lui a offert de nombreux avantages. La Côte d’Ivoire dispose de tout ce qui faut pour attirer le touriste d’aujourd’hui. Ce qui peut lui permettre de renforcer son assise économique et de générer des devises. Avec son riche patrimoine culturel, les alliances interethniques, le pays offre un cadre enchanteur à ses visiteurs, même dans les contrées les plus reculées.
A cela s’ajoute son beau paysage, de longues plages maritimes, des littoraux lagunaires et les lagunes du Golf de Guinée, des fleuves, des cours d’eaux, des lacs etc. Aussi, le pays dispose d’une forêt dense au Sud, d’une zone des steppes au Centre et d’une Savane au Nord. On peut y pratiquer toutes sortes d’activités. Malgré tous ces atouts, le constat donne l’impression d’une Côte d’Ivoire inachevée où beaucoup reste à faire. A l’intérieur du pays, tout comme à Abidjan, les défis sont nombreux. La lagune Ebrié, faut-il le souligner, est l’un des potentiels mal exploités.
Aujourd’hui, ce don naturel sert de dépotoir aux ordures de toutes sortes, voire même aux excréments humains. Il y a aussi l’inexistence de systèmes de transport fluviaux entre les villes côtières et organiser des croisières. Notons que les anciennes capitales de la Côte d’Ivoire (Bassam et Bingerville), ont conservé quelques beaux vestiges qu’il serait indéniable de rénover dans l’intérêt des Ivoiriens eux-mêmes et celui des visiteurs qui souhaitent connaître l’histoire de la Côte d’Ivoire.
Lazare Kouadio