Faire le point des préparatifs du scrutin législatif du 11 décembre 2011 d’une part et faire un état des lieux de la contribution des partenaires extérieurs au financement dudit scrutin d’autre part. Ce sont là les deux points inscrits à l’ordre du jour de l’importante séance de travail que le Bureau de la Commission Electorale Indépendante avec à sa tête son Président, M. Youssouf Bakayoko a eu ce mercredi 9 novembre 2011 avec la communauté des bailleurs de fonds.
Cette réunion qui a eu pour cadre le siège de l’institution électorale a enregistré une forte présence des partenaires et amis de la Côte d’Ivoire. Union Européenne, Union Africaine, CEDEAO, PNUD, Japon, Chine, Canada, USA, ONUCI étaient tous au rendez-vous pour écouter Youssouf Bakayoko.
« Nous vous proposons de concrétiser la mise en place des structures ad hoc de coordination de l’appui technique et financier des partenaires à la CEI afin d’en garantir et renforcer l’efficacité » a fait savoir le patron de l’institution électorale.
Pour lui, les efforts déployés par les acteurs politiques ont emmené la Commission Electorale Indépendante à proroger le délai de dépôt des candidatures. Cette mesure de prorogation, a-t-il poursuivi, visait à renforcer « le caractère inclusif du scrutin, le processus de réconciliation en cours et à contribuer à la mise en place d’un parlement répondant aux aspirations des populations ».
S’exprimant au nom des bailleurs de fonds, le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, M. Bert Koenders a réitéré la volonté de la communauté internationale de toujours soutenir tout effort qui vise à organiser ces élections dans un esprit d’apaisement. Tout en faisant cas de la contribution en nature de la coopération américaine, de la CEDEAO, de l’UA et de la Chine, il a annoncé pour les jours à venir, d’autres contributions. Dans tous les cas, a-t-il estimé, le gap financier qui s’élève à 13 millions de dollars US sera assuré par l’ONUCI car, soutient-il, le Secrétaire Général des Nations Unies et la Communauté des bailleurs de fonds accorde du prix à ces élections qu’il souhaite libres, justes et transparentes.
Pour terminer, le diplomate onusien a égrené certains défis qui, selon lui, doivent être relevés par la CEI. Ces défis ont pour noms : opérationnalité des CEI locales, renforcement du cadre de travail avec les partenaires, respect du chronogramme électoral, réception du matériel dans les délais, confection et mise à disposition des listes électorales dans le temps et dans l’espace.
Notons qu’en début d’après-midi, le Président de la CEI a accordé une audience au Médiateur de la République, M. N’Golo Coulibaly. Ce dernier a indiqué être venu échanger avec son aîné sur la vie des Institutions de la République.
Source : Service de Communication de la CEI
Cette réunion qui a eu pour cadre le siège de l’institution électorale a enregistré une forte présence des partenaires et amis de la Côte d’Ivoire. Union Européenne, Union Africaine, CEDEAO, PNUD, Japon, Chine, Canada, USA, ONUCI étaient tous au rendez-vous pour écouter Youssouf Bakayoko.
« Nous vous proposons de concrétiser la mise en place des structures ad hoc de coordination de l’appui technique et financier des partenaires à la CEI afin d’en garantir et renforcer l’efficacité » a fait savoir le patron de l’institution électorale.
Pour lui, les efforts déployés par les acteurs politiques ont emmené la Commission Electorale Indépendante à proroger le délai de dépôt des candidatures. Cette mesure de prorogation, a-t-il poursuivi, visait à renforcer « le caractère inclusif du scrutin, le processus de réconciliation en cours et à contribuer à la mise en place d’un parlement répondant aux aspirations des populations ».
S’exprimant au nom des bailleurs de fonds, le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies, M. Bert Koenders a réitéré la volonté de la communauté internationale de toujours soutenir tout effort qui vise à organiser ces élections dans un esprit d’apaisement. Tout en faisant cas de la contribution en nature de la coopération américaine, de la CEDEAO, de l’UA et de la Chine, il a annoncé pour les jours à venir, d’autres contributions. Dans tous les cas, a-t-il estimé, le gap financier qui s’élève à 13 millions de dollars US sera assuré par l’ONUCI car, soutient-il, le Secrétaire Général des Nations Unies et la Communauté des bailleurs de fonds accorde du prix à ces élections qu’il souhaite libres, justes et transparentes.
Pour terminer, le diplomate onusien a égrené certains défis qui, selon lui, doivent être relevés par la CEI. Ces défis ont pour noms : opérationnalité des CEI locales, renforcement du cadre de travail avec les partenaires, respect du chronogramme électoral, réception du matériel dans les délais, confection et mise à disposition des listes électorales dans le temps et dans l’espace.
Notons qu’en début d’après-midi, le Président de la CEI a accordé une audience au Médiateur de la République, M. N’Golo Coulibaly. Ce dernier a indiqué être venu échanger avec son aîné sur la vie des Institutions de la République.
Source : Service de Communication de la CEI