Abidjan, Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Bert Koenders, a réitéré la volonté de la communauté des bailleurs de fonds de la mise en place effective du gap financier, d’un montant de 13 millions de dollars US (environ 6,5 milliards de FCFA), destiné à organiser les élections législatives du 11 décembre.
Lors d’une rencontre avec la Commission électorale indépendante, le chef de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), a rappelé le soutien des bailleurs de fonds à tout effort qui vise à organiser des élections législatives libres, justes et transparentes, rapporte le service de communication de la CEI dans un compte rendu parvenu à l’AIP.
Pour le diplomate onusien, certains défis doivent être relevés par la CEI. Il s’agit, a-t-il énuméré, de l’opérationnalité des CEI locales, du renforcement du cadre de travail avec les partenaires, du respect du chronogramme électoral, de la réception du matériel dans les délais, de la confection et de la mise à disposition des listes électorales dans le temps et dans l’espace.
Le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, a auparavant fait le point des préparatifs du scrutin du 11 décembre, en proposant notamment la mise en place d’une structure de coordination pour garantir l’efficacité du travail sur le terrain.
"Nous vous proposons de concrétiser la mise en place des structures ad hoc de coordination de l’appui technique et financier des partenaires à la CEI afin d’en garantir et renforcer l’efficacité", a annoncé Youssouf Bakayoko aux partenaires de la CEI que sont l’Union européenne, l’Union africaine, la CEDEAO, le PNUD, le Japon, la Chine, le Canada, les USA, l’ONUCI.
Le président de la CEI a rappelé la raison de la prorogation du délai de dépôt des candidatures au scrutin des députés à l’Assemblée nationale.
"La mesure de prorogation du scrutin visait le caractère inclusif du scrutin, le processus de réconciliation en cours et à contribuer à la mise en place d’un parlement répondant aux aspirations des populations", a-t-il expliqué.
(AIP)
Lors d’une rencontre avec la Commission électorale indépendante, le chef de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), a rappelé le soutien des bailleurs de fonds à tout effort qui vise à organiser des élections législatives libres, justes et transparentes, rapporte le service de communication de la CEI dans un compte rendu parvenu à l’AIP.
Pour le diplomate onusien, certains défis doivent être relevés par la CEI. Il s’agit, a-t-il énuméré, de l’opérationnalité des CEI locales, du renforcement du cadre de travail avec les partenaires, du respect du chronogramme électoral, de la réception du matériel dans les délais, de la confection et de la mise à disposition des listes électorales dans le temps et dans l’espace.
Le président de la CEI, Youssouf Bakayoko, a auparavant fait le point des préparatifs du scrutin du 11 décembre, en proposant notamment la mise en place d’une structure de coordination pour garantir l’efficacité du travail sur le terrain.
"Nous vous proposons de concrétiser la mise en place des structures ad hoc de coordination de l’appui technique et financier des partenaires à la CEI afin d’en garantir et renforcer l’efficacité", a annoncé Youssouf Bakayoko aux partenaires de la CEI que sont l’Union européenne, l’Union africaine, la CEDEAO, le PNUD, le Japon, la Chine, le Canada, les USA, l’ONUCI.
Le président de la CEI a rappelé la raison de la prorogation du délai de dépôt des candidatures au scrutin des députés à l’Assemblée nationale.
"La mesure de prorogation du scrutin visait le caractère inclusif du scrutin, le processus de réconciliation en cours et à contribuer à la mise en place d’un parlement répondant aux aspirations des populations", a-t-il expliqué.
(AIP)