Odienné, Les cours n’ont véritablement commencé dans aucun des établissements secondaires, publics comme privés, à Odienné, où les inscriptions continuent de se faire au compte-goutte, constate-t-on sur place.
Plus de deux semaines après la rentrée officielle de l’année scolaire 20010-2011 le 24 octobre, les classes restent closes au lycée moderne d’Odienné ainsi qu’au collège moderne.
La situation n’est non plus pas meilleure dans les deux structures privées d’Odienné, le groupe scolaire Mamadou Coulibaly et le collège Diaby qui ont habituellement des semaines d’avance sur le public. Le premier n’ayant enregistré au 9 novembre que 19 inscrits, tandis que le second 7 élèves à la même date.
De l’avis des responsables d’établissement rencontrés, trois faits expliqueraient cette tiédeur plus accentuée de la présente rentrée scolaire. D’abord, le chevauchement de la fin de l’année 2010-2011 avec le début de la nouvelle année, ensuite, la coïncidence de la rentrée avec la fête la Tabaski qui donne habituellement lieu dans la région à des désertions des classes par les élèves pour plusieurs jours et, enfin, et surtout la perturbation causée par l’innovation qu’est le paiement des frais d’inscription par celpaid.
(aip)
Plus de deux semaines après la rentrée officielle de l’année scolaire 20010-2011 le 24 octobre, les classes restent closes au lycée moderne d’Odienné ainsi qu’au collège moderne.
La situation n’est non plus pas meilleure dans les deux structures privées d’Odienné, le groupe scolaire Mamadou Coulibaly et le collège Diaby qui ont habituellement des semaines d’avance sur le public. Le premier n’ayant enregistré au 9 novembre que 19 inscrits, tandis que le second 7 élèves à la même date.
De l’avis des responsables d’établissement rencontrés, trois faits expliqueraient cette tiédeur plus accentuée de la présente rentrée scolaire. D’abord, le chevauchement de la fin de l’année 2010-2011 avec le début de la nouvelle année, ensuite, la coïncidence de la rentrée avec la fête la Tabaski qui donne habituellement lieu dans la région à des désertions des classes par les élèves pour plusieurs jours et, enfin, et surtout la perturbation causée par l’innovation qu’est le paiement des frais d’inscription par celpaid.
(aip)