Les partenaires au développement ont eu le 9 novembre 2011, une séance de travail avec le président de la CEI (Commission Electorale Indépendante) et tout son bureau. Il s’agissait de faire l’état des lieux des financements du scrutin du 11 décembre. C’était au siège de l’institution électorale.
Les bailleurs de fonds et toute la communauté internationale sont déterminés à aider la Côte d’Ivoire dans tous les efforts visant à faire des législatives, une élection exemplaire. C’est cette volonté qu’a traduite, Bert Koenders, Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations Unies. Pour ce qui est du gap financier de 13 millions de dollars US, Bert Koenders a fait savoir qu’il sera assuré par l’ONUCI. Car, « le secrétaire général des Nations Unies et la communauté des bailleurs de fonds accordent du prix à ces élections qu’ils souhaitent libres, justes et transparentes. Pour le diplomate onusien, la CEI se doit de relever avec cette élection, des défis tels que l’opérationnalité des CEI locales, le renforcement du cadre de travail avec les partenaires, le respect du chronogramme électoral, la confection et la mise à disposition des listes électorales dans le temps et dans l’espace. A cette occasion, Youssouf Bakayoko s’est prononcé sur la prorogation du délai de dépôt des candidatures. Pour lui, cette mesure visait à renforcer « le caractère inclusif du scrutin, le processus de réconciliation en cours et à contribuer à la mise en place d’un parlement répondant aux aspirations des populations ». Bien avant, il a fait la suggestion suivante aux bailleurs de fonds : « Nous vous proposons de concrétiser la mise en place des structures adhoc de coordination de l’appui technique et financier des partenaires à la CEI afin d’en garantir et renforcer l’efficacité ».
KH (Source service communication CEI)
Les bailleurs de fonds et toute la communauté internationale sont déterminés à aider la Côte d’Ivoire dans tous les efforts visant à faire des législatives, une élection exemplaire. C’est cette volonté qu’a traduite, Bert Koenders, Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations Unies. Pour ce qui est du gap financier de 13 millions de dollars US, Bert Koenders a fait savoir qu’il sera assuré par l’ONUCI. Car, « le secrétaire général des Nations Unies et la communauté des bailleurs de fonds accordent du prix à ces élections qu’ils souhaitent libres, justes et transparentes. Pour le diplomate onusien, la CEI se doit de relever avec cette élection, des défis tels que l’opérationnalité des CEI locales, le renforcement du cadre de travail avec les partenaires, le respect du chronogramme électoral, la confection et la mise à disposition des listes électorales dans le temps et dans l’espace. A cette occasion, Youssouf Bakayoko s’est prononcé sur la prorogation du délai de dépôt des candidatures. Pour lui, cette mesure visait à renforcer « le caractère inclusif du scrutin, le processus de réconciliation en cours et à contribuer à la mise en place d’un parlement répondant aux aspirations des populations ». Bien avant, il a fait la suggestion suivante aux bailleurs de fonds : « Nous vous proposons de concrétiser la mise en place des structures adhoc de coordination de l’appui technique et financier des partenaires à la CEI afin d’en garantir et renforcer l’efficacité ».
KH (Source service communication CEI)